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Des collègues du service dans lequel je travaillais au CNES (division satellites, section structure) m’ont fait part d’une observation remarquable dont ils ont été témoins en 1965. Mes collègues étaient à l’époque sur place à Colomb-Béchar pour préparer les équipements de test qui accompagnaient la fusée Diamant.
Dans la matinée, ils remarquèrent un objet semi-circulaire d’apparence métallique réfléchissant la lumière du Soleil sur sa moitié supérieure. Le dessous de l’objet paraissait noir. Il est resté suspendu à environ 600 m au-dessus du sol. Non seulement l’objet était bien là, mais il se déplaçait au fur et à mesure des mouvements ou des activités au sol, comme s’il cherchait à tout moment le meilleur angle d’observation.
L’événement a duré toute la fin de matinée (plus d’une heure). Mes collègues avaient remarqué le caractère extraordinaire de l’observation, mais sans s’inquiéter en se disant: “Tiens, une puissance étrangère nous surveille!” (c’était avant le départ de l’objet). Au bout de quelques minutes, constatant que la position de l’objet correspondait toujours à leur activité au sol, les techniciens se sont arrêtés de travailler, non pas par souci de confidentialité, mais parce qu’ils étaient agacés par ce “truc qui leur tournait autour”.
Et puis l’objet est parti subitement vers le haut disparaissant en environ deux secondes.
Le travail a repris et plus personne n’en a parlé. Sauf entre collègues, exceptionnellement.
Cet événement n’a pas été beaucoup relaté dans la presse à l’époque. Il est resté ignoré du grand public. Pourtant, le phénomène a été observé par quelques dizaines de personnes, soit militaires soit scientifiques. Officiellement il a été totalement ignoré, donc aucun débat n’a été possible.
Pourtant lors d’une émission télévisée diffusée sur la chaîne française «France 2» en 1998 le journaliste Jean-Pierre Chapel, qui était présent sur les lieux à l’époque, a évoqué ce cas d’apparition d’ovni.
Des militaires français ont filmé l’objet de 7 ou 8 km de distance Tout ceci fut filmé par un cinéthéodolite, ce qui permit d’estimer , au moment de son départ, l’accélération de l’objet passant d’une vitesse de 0 à 8000 km/h en moins de 2 secondes !. Malheureusement, le film fût “officiellement” perdu pendant un déménagement à Agadir.”
Remarque personnelle : cet événement n’a pas été souligné davantage car c’est l’exemple d’un événement ingérable. On ne sait pas quel type de rapport utiliser, où ranger le film, à qui en parler.
Tout simplement.
Rien ne s’est donc passé puisqu’il n’y a pas de rapport, le film doit toujours être “en attente” quelque part dans une caisse …
Mais il suffit de parler aux témoins qui racontent tout simplement ce qu’ils ont vu et ressenti ce jour là.
Publié par Jacky Kozan le 1er mars 2024