Morts inexpliquées de bétail et émergence, en Amérique du Nord, d’une épidémie d’Encéphalopathie Spongiforme Transmissible (E.S.T.)

traduction partielle mais fidèle effectuée par Jacky Kozan,
terminée le 07 février 2006, mise à jour le 6 août 2017.

Unexplained Cattle Deaths and the Emergence of a
Transmissible Spongiform Encephalopathy (TSE) Epidemic
in North America

édité par le

National Institute for Discovery Science
4975 South Polaris Ave.
Las Vegas, NV 89118
nids@anv.net

Document source original

Résumé

Ce rapport met en évidence la corrélation entre les morts inexpliquées de bétail et l’émergence, en Amérique du Nord, d’une épidémie d’Encéphalopathie Spongiforme Transmissible (E.S.T.).

– il montre que des instruments tranchants sont utilisés lors des mutilations des animaux, contredisant les rapports qui affirment que des prédateurs et des charognards peuvent être à l’origine de ces mutilations,

– il montre que certains organes sont préférés lors des prélèvements,

– il attire l’attention sur les recoupements temporels et géographiques entre les mutilations d’animaux et les épidémies d’ E.S.T. au Nord Est de l’état du Colorado à la fin des années 60,

– il met en évidence que les cas de mutilation d’animaux correspondent aux méthodes classiques de prélèvements d’échantillons sur les bêtes sauvages lors de maladies infectieuses,

– il met en évidence une épidémie due aux prions dans le bétail ainsi que chez les chevreuils et élans en Amérique du Nord,

– il met en évidence que chez les humains un certain nombre de maladies à prions sont faussement diagnostiquées « maladie d’Alzheimer » échappant ainsi à toute mise en évidence,

– les archives montrent que des souches hautement infectieuses d’ E.S.T. furent importées de Nouvelle Guinée par des centres de recherches du Maryland après 1958 et furent utilisées pour des expériences de franchissement de barrières d’espèces,

– il formule l’hypothèse que les mutilations d’animaux sont à la fois des opérations de prélèvement d’échantillons sur les animaux domestiques, dans le cadre des maladies d’ E.S.T., et un avertissement « graphique » que la chaîne alimentaire du bœuf et du gibier est compromise.

Il est évident que des inconnus conscients que la chaîne alimentaire du bœuf et du gibier est compromise, font une opération à long terme, cachée, de prises d’échantillons sur le bétail, dans le cadre d’une surveillance des maladies à prions. Il n’y a pas suffisamment d’évidences pour identifier ces inconnus.

 

Introduction

Les cas de mort de bétail mutilé sont caractérisés par des prélèvements d’organes sur les animaux domestiques et sauvages, effectués par des inconnus. Les témoignages de vétérinaires, policiers et inspecteurs spécialistes du bétail, font clairement la distinction entre les mutilations d’animaux et les morts d’animaux domestiques et sauvages comme conséquence d’une maladie infectieuse, d’une prédation ou autres causes naturelles. Les cas de mutilations d’animaux sont apparus dans les media à la fin des années 60 et se sont multipliés au cours des années 70.

Les deux questions principales et sans réponses qui ont motivé la recherche sur ce phénomène sont :
Qui ? et Pourquoi ?

Ce rapport traite la deuxième question ainsi que le lien entre les vagues de mutilations animales de 1970/1980 et l’émergence d’une épidémie infectieuse en Amérique du Nord, pendant et après cette période.

Ce rapport n’a pas pour objectif de poser la question : « Qui tue et mutile les animaux? ».

 

<10 pages de texte n’apparaissent pas ici, voir le document original complet>

 

Conclusions, hypothèses et prévisions

La conclusion majeur du présent document est que l’épidémie de mutilations animales qui a eu lieu entre 1970 et 2003 a été et est toujours une opération de surveillance d’un agent infectieux qui se répand dans la chaîne alimentaire humaine (bétail, moutons, chevreuils sauvages et d’élevage).
L’agent infectieux, à la différence des virus et bactéries connus est quasiment indestructible et les symptômes chez les personnes sont très difficiles à diagnostiquer avant le décès.

Dans cette hypothèse, les opérations de mutilations animales sont perpétrées par un groupe bien informé ayant connaissance de la biochimie et du potentiel infectieux des maladies à prions et de leur propagation.

 

Mesure de la difficulté d’acquérir ces connaissances:

– début 1958 le Dr Carleton Gajdusek commence par envoyer au laboratoire du NIH (Institut National de la Santé) à Bethesda et Fort Detrick ,des cerveaux atteints de la maladie du Kuru et prélevés dans les tribus sauvages de Nouvelle Guinée.

– à partir de ce moment, ces maladies neurodégénératives sont apparues aux Etats-Unis, sans publications marquantes, du début des années 50 au du début des années 60.

– maintenant seulement, en raison de l’intense recherche sur les maladies à prions effectuée depuis une vingtaine d’années, il est devenu évident que la multiplication des prions se produit plus particulièrement dans l’œil, la langue, l’anus et le gros intestin et les organes reproducteurs.

– si ces tissus spécifiques sont prélevés lors des mutilations animales, avec comme objectif une surveillance de l’évolution des maladies à prions, ceci sous-entend pour les auteurs de ces mutilations animales une grande connaissance de la physiologie, de la biochimie et du potentiel infectieux des prions et implique la connaissance de résultats récemment publiés.

L’identité de ces mutilateurs reste inconnue, mais en plus d’une connaissance des résultats de recherches sur le potentiel infectieux des prions, autre un élément des mutilations animales a été le haut niveau de technologie, l’habileté et la discrétion des interventions chirurgicales. Les milieux judiciaires spécialisés, rappellent périodiquement que pendant 30 ans, pas une personne n’a été arrêtée ou mise en cause pour avoir perpétré des mutilations animales.

 

Pourquoi laisser le corps mutilé ?

Cette question a tourmenté les enquêteurs depuis les premières publications détaillées sur les mutilations, au début des années 70. Comme le reconnaîtra chaque lecteur familier des thèmes relatifs aux mutilations animales, une surabondance d’hypothèses ont été avancées concernant les mutilateurs et leurs motivations. L’hypothèse la plus souvent prise en considération est celle d’opérations gouvernementales pour contrôler les conséquences d’essais d’armes de guerre biologique ou étant sources de radiations. Mais dans ce cas, il n’y a pas de réponse adéquate à la question « Pourquoi avoir laissé le corps ? ». Le gouvernement pouvait à son aise tester ses propres troupeaux ou obtenir des carcasses d’abattoirs s’il souhaitait cacher des contrôles. Pour cette raison et quelques autres, il est évident que le gouvernement ne peut pas être mis en cause comme auteur des mutilations animales.

Vallée et Smith ont suggéré l’intrigante hypothèse que le fait de laisser les carcasses de vaches sur le sol constitue un message délibéré. Comme ces deux auteurs, nous suggérons que les implicites lacunes de dissimulation des carcasses de la part des auteurs des mutilations animales, sont une énergique mise en garde qui nous est adressée. Nous suggérons que l’attention a été délibérément portée sur les mutilations animales. Nous avons été mis en garde sur le fait que la chaîne alimentaire humaine est compromise, probablement en raison d’une infection par un agent de la famille des prions, qui est la plupart du temps, non détecté.

Comme nous l’avons présenté, les déchirantes conséquences de la dispersion de ces agents infectieux responsables des Encéphalopathie Spongiforme Transmissible peuvent être présentes dans les épidémies de maladie d’Alzheimer qui ravagent le système de santé des Etats-Unis (4 millions de malades actuellement). Il faut prendre en compte aussi les mystérieuses maladies d’Alzheimer précoces, qui touchent 200 000 Américains. Nous avons aussi présenté que, de toute évidence, des milliers de cas de maladie de Creutzfeldt-Jakob ont pu être faussement diagnostiqués comme cas de maladie d’Alzheimer et donc cette épidémie de maladie de Creutzfeldt-Jakob est discrètement présente aux Etats-Unis, à l’insu du public. Nous formulons l’hypothèse que les mutilateurs d’animaux connaissent et ont eu connaissance des dommages potentiels que peuvent occasionner aux humains ces agents infectieux dans la chaîne alimentaire humaine. En conséquence nous formulons l’hypothèse que les mutilations animales sont à la fois des opérations d’échantillonnage ET une mise en garde.

 

Plusieurs prévisions se dessinent à partir de cette hypothèse:

– une épidémie importante de maladie de Creutzfeldt-Jakob/Encéphalopathie Spongiforme Transmissible apparaîtra dans les environs de « Great Falls Montana » dans les prochaines années,

– de semblables épidémies apparaîtront en Argentine et dans le Nord du Nouveau Mexique,

– dans les deux ans qui viennent, aux USA, le lien sera fait, sans ambiguïté, entre les Encéphalopathies Spongiformes Transmissibles des animaux sauvages et les cas sporadiques de maladie de Creutzfeldt-Jakob chez les humains,

– bien que la Californie ait mis un embargo sur l’importation de chevreuils d’autres Etats, l’intense vague de mutilations dans et aux alentours d’un ranch en Californie du Nord (30 animaux mutilés en 5 ans), laisse présager une épidémie chronique d’Encéphalopathie Spongiforme Transmissible des animaux sauvages dans les 5 à 10 ans à venir,

– dans les années à venir, une méthode permettant de différencier maladie de Creutzfeldt-Jakob de la maladie d’Alzheimer, sera mise en application aux USA, faisant apparaître un accroissement considérable des cas de maladie de Creutzfeldt-Jakob.

 

Remerciements
Les auteurs de ce rapport remercient les Conseillers Scientifiques du NIDS (National Institute for Discovery Science) pour la mise à jour des versions antérieures de ce document, ainsi que les autres membres du personnel qui ont contribué à sa rédaction, en apportant leurs expertises. Ceux qui sont concernés se reconnaîtront. Le NIDS remercie Fern Belzil pour la fourniture de documents non publiés sur les mutilations animales.

 

Références
Voir la liste de 65 documents de référence sur le document original en Anglais.
Ce document se trouve à cette adresse:

http://www.nidsci.org/unexplained-cattle-deaths-emergence-tse-epidemic-north-america/

Document complet en .pdf

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Publié par

Jacky

Fondateur animateur de l'Académie d'Ufologie. Ancien cadre de l'Industrie microélectronique et de la microbiologie. Start-Up spécialiste.