Jacky Kozan, le 1er septembre 2016
Le texte ci-dessous est un résumé, les affirmations ne sont pas étayées par des références de documents. Je le rédige d’après mes connaissances personnelles, résultat de quelques dizaines d’années de lecture et de réflexion. Cependant il est très facile de trouver les sources, souvent multiples, des informations ci-dessous en saisissant les mots clés adaptés dans un moteur de recherche.
Pour essayer d’appréhender notre propre situation dans l’univers et dans le temps, afin de la comparer à celles d’autres civilisations, nous devons prendre en considération:
– l’âge de la Terre comparé à l’âge de l’univers
– l’apparition de la vie dans l’univers
– l’apparition de la vie sur Terre
– la place de notre civilisation dans le temps
– les limites de l’archéologie
disparition des traces de civilisation
camouflages de découvertes archéologiques
fouilles superficielles
– les structures irréalisables par nous aujourd’hui
– les géants et autres créatures ignorées et rejetées par la science
– les grandes religions qui décrivent la création de la Terre et de l’Homme
la Bible, le Coran, la Bhagavad-Gita, Le Kojiki
– les livres apocryphes
L’âge de la Terre comparé à l’âge de l’univers
L’univers existe depuis 13,6 milliards d’années, la Terre existe depuis 4,5 milliards d’années.
Sur l’image ci-après, si l’on considère 2 000 ans de notre civilisation, le trait jaune qui la représente devrait avoir une largeur de 6 microns. C’est à dire qu’on ne pourrait même pas le voir, car la résolution de l’œil est de 25µ, ce qui correspond à l’épaisseur d’un cheveu très fin. Il faut commencer par bien enregistrer cette comparaison.
En élargissant un peu l’âge de notre civilisation, on peut donc se la représenter avec un trait jaune juste visible.
La question qu’il faut se poser c’est:
– est-il possible que d’autres traits jaunes, à peine visibles, aient pu exister depuis la création de l’univers et depuis la création de la terre?
Réponse: on peut en mettre des milliers rien que sur la Terre. En prenant une bonne marge de sécurité on peut affirmer qu’il est possible que des centaines de civilisations aient existé sur la Terre avant nous.
L’apparition de la vie dans l’univers
En cherchant à se documenter dans les écrits les plus anciens, quelle que soit leur appartenance religieuse, on finit par trouver des affirmations très semblables et la bienséance veut maintenant que l’on admette que l’homme a été créé, il n’ y a pas très longtemps, par un « dieu ». La notion de « dieu » variant largement d’une religion à une autre. Elle semble désigner une hiérarchie montante par rapport à l’humain, chacun se l’étant représentée selon son acquit personnel. Là, pas question d’apparition de la vie ni d’évolution, pas d’origine probable ni en lieu ni en temps. Ce qui est tout à fait compréhensible et apporte de la crédibilité au récit.
Certaines théories scientifiques mettent en avant une création accidentelle de la vie sous la forme de cellules les plus simples, puis une évolution progressive vers les bactéries les poissons, les reptiles, les mammifères et enfin l’humain, joyau final de l’aboutissement des évolutions techniques nécessitées par l’environnement évolutif.
Aucune de ses deux théories n’est recevable par nous aujourd’hui. La vérité est forcément tout autre.
Certaines publications affirment qu’en toute logique scientifique, si on réfléchit sur le développement de l’ADN au fil du temps, on s’aperçoit que la vie a probablement commencée, avec le premier ADN, il y a 10 milliards d’années. La Terre n’existait pas encore, elle n’a existé que 6 milliards d’années plus tard. On peut donc en déduire que la vie était présente dans l’univers bien longtemps avant que la Terre n’existe. Si plusieurs milliers de civilisations ont eu la place pour exister sur la Terre alors dans l’univers entier combien y en a-t-il eues pendant ces 6 milliards d’années avant la Terre?
La place prise par notre civilisation
Comme la Terre est jeune, la vie existe probablement dans l’univers bien avant elle. Notre planète a pu déjà héberger des centaines de civilisations, peut-être bien plus avancées techniquement que la nôtre aujourd’hui. Avant nous, des centaines de civilisations avancées ont existé sur Terre et des millions dans l’univers. La place que nous occupons sur l’échelle de l’évolution du monde est si petite que nous ne pouvons même pas la représenter à l’échelle sur une feuille de papier A4! Oublions son aspect éphémère et comprenons qu’il serait incompréhensible que nous ne croisions pas d’autres civilisations ou que nous ne trouvions pas de traces de civilisations avancées précédentes qu’elles fussent de « chez nous » ou d’ailleurs.
Les limites de l’archéologie
Alors pourquoi ne trouvons-nous pas en permanence et partout des traces de civilisations anciennes?
D’abord, il y en a, comme par exemple les pyramides diverses, les constructions anciennes incompréhensibles, les marques diverses déroutantes (Nazca et autres en Chine). Au Liban à Baalbek, un chantier de pierres de taille pesant 2 000 tonnes a été abandonné. Par qui ?
La disparition des traces des civilisations
Ensuite, il faut savoir combien de temps les traces d’une civilisation peuvent subsister dans un univers en évolution permanente. Des documentaires TV ont été diffusés pour nous expliquer qu’après l’extinction d’une espèce, les traces physiques d’une civilisation disparaîtraient complètement au bout de 25 000 ans ou au mieux 250 000 ans s’il y a des traces de radio activité. Mais comme les étoiles de notre galaxie baignent dans les rayons gamma, bien malin sera celui qui saura faire une différence.
Les camouflages de découvertes archéologiques
Lorsque l’on s’intéresse au problème des traces de civilisations anciennes (pas 5 000 ou 10 000 ans mais 1 million d’années ou 100 millions d’années) et que l’on consulte les publications archéologiques, on découvre que beaucoup de découvertes, non conformes à la bienséance politico-religieuse, sont écartées ou détruites. Certaines sont conservées bien à l’abri des intelligences agitatrices. J’ai même lu qu’il y aurait plus de trésors camouflés que visibles dans des musées.
Les fouilles sont superficielles
Les fouilles archéologiques sont faites en creusant le plus souvent au niveau d’un mètre et jusqu’à un maximum de l’ordre de 8 mètres. Il ne s’agit pas des travaux de génie civil débouchant sur des découvertes archéologiques, mais des fouilles dans le cade d’une recherche scientifique.
En supposant qu’il en reste quelque chose, à quel niveau se trouveraient des traces d’une civilisation qui aurait existé il y a cent millions d’années ? Il faut tenir compte de l’érosion et autres modifications du paysage dues à la géologie.
Des structures irréalisables par nous aujourd’hui
Avec la généralisation et l’amélioration des communications de plus en plus d’image sont publiées par des chercheurs, canulars exclus, montrant des constructions que nous sommes bien incapables de reproduire ou même de comprendre, maintenant, alors que nous nous considérons comme la civilisation la plus évoluée qu’il n’ait jamais existé dans l’univers. L’explication la plus facile et la plus adaptée c’est d’en attribuer leur construction a des civilisations différentes de la nôtre, qu’elles soient de chez nous ou d’ailleurs. Il ne faut pas écarter systématiquement cette explication sous le seul prétexte qu’elle n’est pas conforme aux discours religieux.
Les géants et autres créatures ignorées et rejetées par la science
Il faut encore moins écarter cette hypothèse car l’on sait que même les anciens documents écrits des religions décrivent des créatures différentes des humains: les géants de la Genèse, les anges, les djinns et autres entités non humaines qui ont eu un impact sur l’évolution de notre civilisation.
Là encore le monde religieux, scientifique et politique ne veut pas prendre en considération des faits qu’il ne comprend pas ou à propos desquels quelqu’un lui a conseillé de ne pas s’en occuper car ces hypothèses là seraient nuisibles à son évolution personnelle. Résultat: des traces de civilisations antérieures à la nôtre existent et certains personnages sont mentionnés dans les écritures saintes, mais tout ceci doit être ignoré. Résultat, les dirigeants du monde mentent aux citoyens depuis 2 000 ans au moins pour conserver le pouvoir et des avantages à la charge de ces mêmes citoyens.
Les grandes religions décrivent la création de la Terre et de l’homme
La Bible, le Coran, la Bhagavad-Gita, Le Kojiki dont j’ai lu des extraits, mentionnent que la Terre a été créée par un ou plusieurs dieux et que l’homme a aussi été crée par ces mêmes divinités. Viennent s’ajouter aux humains d’autres personnages plus proches des dieux que ne le sont les humains. Certains existaient avant que l’homme ne soit créé alors que d’autres, comme les Djinns ont été créés en même temps que l’homme à partir des flammes du feu. L’homme ayant été créé à partir des cendres du feu, a donc été créé après les Djinns.
La documentation existe, elle est abondante, il n’y a qu’à lire. Les textes se recoupent bien: l’homme a été déposé sur Terre à un certain moment et à ce moment là d’autres créatures évoluant à proximité des dieux existaient déjà.
La Bible Septante serait due à l’initiative du fondateur de la Bibliothèque d’Alexandrie, Démétrios de Phalère, qui vers 270 av. J-C. aurait suggéré à Ptolémée II d’ordonner la traduction en grec de tous les livres israélites, textes sacrés et narrations profanes. Des savants juifs au nombre de 72 (six de chacune des douze tribus d’Israël) auraient été chargés de ce travail qui, en leur honneur, porte le nom de Version des Septante.
Pour la version française, Louis Segond (c’est le nom de famille), né en 1810 et mort en 1885 à Genève, est un pasteur protestant et théologien qui, à la demande de la Compagnie des Pasteurs de Genève, a traduit la Bible en français à partir des textes originaux hébreux et grecs, c’est la traduction « Segond ».
A retenir, le texte de La Genèse 6.1 à 6.4 qui mentionne en particulier que « Les géants étaient sur la terre en ces temps-là, après que les fils de Dieu furent venus vers les filles des hommes, et qu’elles leur eurent donné des enfants: ce sont ces héros qui furent fameux dans l’antiquité« .
Ce texte n’apparait plus sur certaines éditions récentes de la Bible.
Le Coran est le texte sacré de l’islam, qui reprend la parole de Dieu. Ce Livre reste le premier et le plus ancien document littéraire authentique connu en arabe jusqu’à ce jour, comme la tradition musulmane le présente.
La Bhagavad-Gita qui est la partie centrale du poème épique Mahabharata, est un des écrits fondamentaux de l’hindouisme.
Le Kojiki est l’un des plus ancien écrit japonais existant puisqu’il date de 712 après J.-C. C’est un recueil de mythes et de légendes expliquant la fondation du Japon comme la formation des iles, l’origine des dieux ou la ligné des Empereurs. Il a fortement inspiré le shintoïsme et il est considéré comme l’un des textes fondateurs du Japon.
Les livres apocryphes
En ce qui concerne la Bible, elle a donc été rédigée en Grec par 72 savants juifs qui ont regroupés tous les textes sacrés des livres Israélites. Enfin… presque tous car en lisant plus attentivement on s’aperçoit que beaucoup de textes hébraïques d’origine ont été écartés pour faire la Bible Septante.
En parcourant des extraits de ces livres on y trouvera beaucoup de mentions d’êtres supérieurs non humains interférant avec les humains.
Même les livres sacrés mentionnent clairement l’existence de créatures supérieures avant et après l’arrivée de l’homme. D’autres écritures considérées comme sacrées mais pas retenues pour faire Le Livre Sacré, donnent plus de détails sur des créatures supérieures diverses.
Alors est-il raisonnable de s’interroger encore sur la probabilité de l’existence « d’anciens astronautes »?
Des civilisations plus ou moins développées ont existé depuis des milliards d’années. On remarque bien le caractère éphémère de la nôtre. Comme pour les civilisations précédentes il ne restera rien de la nôtre dans 100 000 ans. Mais d’autres civilisations vont apparaître, certaines moins avancées techniquement que la nôtre, certaines beaucoup plus. Certaines d’entre elles comprendront comment aller rendre visite à d’autres civilisations dans l’univers. Les contacts et les échanges continueront d’exister. Certains dirigeants de ces civilisations tiendront des discours universels d’ouverture et d’autres, comme la nôtre, affirmeront à leurs citoyens que le centre de l’univers c’est eux, que personne ne peut venir jusqu’à eux et qu’il est vain d’essayer d’aller voir si l’herbe est plus verte dans le pré d’en face.
Notons au passage le gros travail fait par l’équipe qui réalise la série TV des « anciens astronautes ». Ce titre repris par les ufologues me semble mal adapté. Certes, des habitants d’autres planètes ont existé bien avant notre présence sur Terre et ils nous ont rendu visite depuis que nous existons. Ils continuent cependant de nous rendre visite. Le mot ancien n’est pas adapté, puisque ces voyageurs de l’espace et du temps passeront ou s’installeront sur Terre bien après notre disparition.
Nous avons besoin d’un autre mot pour désigner ces voyageurs intemporels de l’univers.
Jacky Kozan, le 1er septembre 2016