La divulgation attendue, mais dont personne ne veut…

Divulgation pour une civilisation erronée ?
Jacky Kozan, le 29 mai 2017

Les dirigeants du Pentagone, probablement à la demande de certains de nos visiteurs de l’au-delà, ont sollicité un partenaire mieux placé qu’eux pour essayer de faire passer la divulgation. Ils ont choisi un ancien Rocker car c’est une personne qui touche beaucoup de personnes ciblées par cette divulgation.
Il s’agit de Tom DeLonge (42 ans) n’est pas seulement un jeune artiste de music-hall mais une personne en mission pour les militaires haut-gradés des USA. Cette dernière précision me semble la plus importante. Il a aussi été nommé « ufologue de l’année 2017 » par des organismes sérieux, que nous connaissons, puisque au moins deux de ses dirigeants sont membres de l’Académie d’Ufologie.

Après plusieurs tentatives de divulgation sans succès depuis plusieurs années une partie du monde militaire, des agences de renseignement, du Show-business et quelques personnalités politiques ont compris que la population ne veut pas de cette divulgation et qu’elle préfère évoluer dans une civilisation erronée plutôt que de changer quelques repères qui balisent leur vie. Les actifs déjà installés dans la vie rejettent toute idée de changement. Il n’y a aucune raison d’essayer de les persuader qu’il faut qu’ils exigent qu’on leur dise la vérité.

Les dirigeants du monde pro-divulgation ont en conséquence modifié leur stratégie.
La population visée maintenant est celle qui, d’une façon ou d’une autre, trouvera très vite elle même les vérités qui leur ont été cachées jusqu’à présent. C’est une conséquence de l’amélioration des performances de la communication.

Puisque les « vieux », y compris les « vieux ufologues » ne veulent rien savoir, autant répondre aux interrogations de ceux qui se remettent en cause tous les matins et qui dirigeront la planète dans 10 ans.
La divulgation ne cible que les personnes nées après l’an 2000. Tom DeLonge né en 1975 est déjà « un vieux » mais il est crédible auprès d’une grand partie des citoyens ciblés. Il a le savoir faire pour communiquer avec les jeunes.
La divulgation ne concerne pas les personnes installés dans la vie active. C’est inutile d’essayer de les faire évoluer car comme des canards, ils resteront assis même en cas de danger. Le Pentagone et Hollywood ont bien compris qu’il fallait les oublier, ils sont satisfaits, ils ne réclament rien, laissons-les donc disparaitre progressivement et sans vagues.

Le monde aurait dû s’adapter à une nouvelle situation, il n’a pas souhaité le faire. On arrive au terminus, tout le monde descend. La correspondance est sur le quai d’en face, départ dans 2 minutes… Allez les jeunes!

Beaucoup d’ufologues, y compris dans l’Académie d’Ufologie, sont hostiles à la divulgation. D’ailleurs ils ne la réclament pas, ils continuent à surveiller le ciel, à noter des témoignages, à construire des bases de données, mais ils ne vont pas prendre des risques politiques. Ils préfèrent naviguer par beau temps comme lanceurs d’alertes (dans le vide) plutôt que d’agacer les personnalités dirigeantes de notre planète. Les ufologues face à la divulgation sont un peu comme un parti politique d’opposition qui se mettrait à paniquer quand il s’aperçoit qu’il est aux portes du pouvoir.

La divulgation n’est pas une croyance, c’est une collecte d’indices de plus en plus nombreux, qui nous guident vers des présomptions. En Justice un faisceau de présomptions est une preuve. Avec 3 présomptions de méfaits nous envoyons quelqu’un en prison.

Les indices que nous collectons sont toujours vérifiés ou au moins recoupés avec d’autres et ils viennent de sources dont le sérieux est incontestable.

Depuis la fin de l’année dernière nous avons appris que Podesta était acteur pro-divulgation immédiate, que le Pentagone agissait pour une divulgation immédiate, que pour le faire il s’appuyait sur le monde du Show-Biz en particulier celui d’Hollywood. A noter au passage que Nick Pope est aussi très pris par des préparations de films et de séries télévisées.
C’est le Pentagone qui a proposé à Tom Delonge d’agir pour eux. Tom Delonge fut un jeune artiste de music-hall qui avait des millions d’auditeurs. Nous avons pu constater qu’il a atteint un niveau de crédibilité étonnant en ufologie.

On savait que c’était l’US Air-Force qui bloquait la divulgation parce qu’historiquement en 1952 le Général Vandenberg, pour raison de religion, ne voulait pas que l’hypothèse extraterrestre soit officiellement mentionnée dans les rapports alors que les enquêteurs de l’US Air-Force proposait cette hypothèse, en accord avec le FBI. Depuis tout le monde a respecté la consigne aux US et comme la France calque sa conduite sur les US… il ne pouvait rien se passer.

Mais n’empêche que depuis 1947 (Roswell), il y a des militaires et du personnel des agences de renseignement qui défendent l’HET. La Sécurité Intérieure (Homeland Securities) qui est au-dessus de tout le monde aux US (y compris du Président) veillait à ce que le secret soit bien conservé.

Cette politique semble abandonnée car l’année dernière ils ont eux-même publié une vidéo d’un ovni filmé par l’un de leurs hélicoptères à Porto-Rico.

De plus, avec les publication de wikileaks, on a maintenant confirmation que le Pentagone, en particulier l’Air-Force, s’intéresse depuis longtemps aux ovnis et qu’en ce moment ils travaillent sur la divulgation avec le monde du show-business.

Travaillent sur la divulgation avec Tom DeLonge:
– Le Dr. Neil McCasland, Commandant du Laboratoire de Recherche de l’US-Air Force (AFRL) de la base de Wright-Patterson à Dayton, Ohio. Il est responsable du budget de 2,2 milliards de dollars du programme de Science et technology,
– Le Major General Michael J. Carey, Assistant Special du Commandant de l’Air Force Space Command de la base de Peterson, Colorado,
– Robert F. Weiss, Le Vice President et Directeur Général Manager des Programmes de Développement de l’Aéronautique Avancée de Lockheed Martin Corporation (SkunkWorks).
– Un ancien haut gradé de la CIA, Jim Semivan
– Le Dr. Jacques Vallée
– Chris Mellon un ancien du Département de la Défense,
– une équipe de conseillers mis à sa disposition par le Pentagone.

Nous avons appris que le Président Obama et Steven Spielberg ont rédigé et signé un document appelant le monde du cinéma à Hollywood a s’engager plus avant dans la divulgation. Deux tentatives de divulgation ont échouées en 2 ans et une troisième est en cours.

Nous avons compris que le blocage anti-divulgation vient surtout de la base, des citoyens qui ne veulent rien entendre à ce sujet. A tous les niveaux il y a des personnes qui ne veulent pas que les choses changent. Essayez de demander à votre Notaire s’il est sérieux de penser que la vie existe sur une autre planète…

Les indices sérieux s’accumulent, la communication entre les individus s’améliore et s’accélère. De moins en moins d’informations pourront être camouflées. Les obstacles à la divulgation vont disparaitre et le public va l’exiger. Beaucoup de changement politiques sont en cours ou en préparation.

Tout indique que l’embargo sur la vérité devient insoutenable et qu’il sera levé.
De toute façon, ce sont les civilisations qui nous gèrent, nous les Terriens, qui décident et qui agiront le moment venu. Il semble bien que le travail de préparation soit bien avancé.

Les militaires savent et ils sont actifs en recherche sur les technologies extraterrestres depuis longtemps (1947 et 1952 ont été des étapes incitatives). Aucun doute là-dessus.

En France le Général De Gaulle avait confié a un dirigeant du CEA une mission d’étude du sujet. Même si le Général est parti en 1969, il doit y avoir en ce moment même, des suites de cette mission. Mais rien ne filtre vers nous. Ils prendront le train américain de la divulgation.

Jacky Kozan, le 29 mai 2017

Voir l’article « Compte-rendu de Tom DeLonge à John Podesta« 

Les anciens astronautes

Jacky Kozan, le 1er septembre 2016

Le texte ci-dessous est un résumé, les affirmations ne sont pas étayées par des références de documents. Je le rédige d’après mes connaissances personnelles, résultat de quelques dizaines d’années de lecture et de réflexion. Cependant il est très facile de trouver les sources, souvent multiples, des informations ci-dessous en saisissant les mots clés adaptés dans un moteur de recherche.

Pour essayer d’appréhender notre propre situation dans l’univers et dans le temps, afin de la comparer à celles d’autres civilisations, nous devons prendre en considération:
– l’âge de la Terre comparé à l’âge de l’univers
– l’apparition de la vie dans l’univers
– l’apparition de la vie sur Terre
– la place de notre civilisation dans le temps
– les limites de l’archéologie
disparition des traces de civilisation
camouflages de découvertes archéologiques
fouilles superficielles
– les structures irréalisables par nous aujourd’hui
– les géants et autres créatures ignorées et rejetées par la science
– les grandes religions qui décrivent la création de la Terre et de l’Homme
la Bible, le Coran, la Bhagavad-Gita, Le Kojiki
– les livres apocryphes

L’âge de la Terre comparé à l’âge de l’univers

L’univers existe depuis 13,6 milliards d’années, la Terre existe depuis 4,5 milliards d’années.
Sur l’image ci-après, si l’on considère 2 000 ans de notre civilisation, le trait jaune qui la représente devrait avoir une largeur de 6 microns. C’est à dire qu’on ne pourrait même pas le voir, car la résolution de l’œil est de 25µ, ce qui correspond à l’épaisseur d’un cheveu très fin. Il faut commencer par bien enregistrer cette comparaison.
En élargissant un peu l’âge de notre civilisation, on peut donc se la représenter avec un trait jaune juste visible.
La question qu’il faut se poser c’est:
– est-il possible que d’autres traits jaunes, à peine visibles, aient pu exister depuis la création de l’univers et depuis la création de la terre?
Réponse: on peut en mettre des milliers rien que sur la Terre. En prenant une bonne marge de sécurité on peut affirmer qu’il est possible que des centaines de civilisations aient existé sur la Terre avant nous.

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L’apparition de la vie dans l’univers

En cherchant à se documenter dans les écrits les plus anciens, quelle que soit leur appartenance religieuse, on finit par trouver des affirmations très semblables et la bienséance veut maintenant que l’on admette que l’homme a été créé, il n’ y a pas très longtemps, par un « dieu ». La notion de « dieu » variant largement d’une religion à une autre. Elle semble désigner une hiérarchie montante par rapport à l’humain, chacun se l’étant représentée selon son acquit personnel. Là, pas question d’apparition de la vie ni d’évolution, pas d’origine probable ni en lieu ni en temps. Ce qui est tout à fait compréhensible et apporte de la crédibilité au récit.
Certaines théories scientifiques mettent en avant une création accidentelle de la vie sous la forme de cellules les plus simples, puis une évolution progressive vers les bactéries les poissons, les reptiles, les mammifères et enfin l’humain, joyau final de l’aboutissement des évolutions techniques nécessitées par l’environnement évolutif.

Aucune de ses deux théories n’est recevable par nous aujourd’hui. La vérité est forcément tout autre.

Certaines publications affirment qu’en toute logique scientifique, si on réfléchit sur le développement de l’ADN au fil du temps, on s’aperçoit que la vie a probablement commencée, avec le premier ADN, il y a 10 milliards d’années. La Terre n’existait pas encore, elle n’a existé que 6 milliards d’années plus tard. On peut donc en déduire que la vie était présente dans l’univers bien longtemps avant que la Terre n’existe. Si plusieurs milliers de civilisations ont eu la place pour exister sur la Terre alors dans l’univers entier combien y en a-t-il eues pendant ces 6 milliards d’années avant la Terre?

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La place prise par notre civilisation

Comme la Terre est jeune, la vie existe probablement dans l’univers bien avant elle. Notre planète a pu déjà héberger des centaines de civilisations, peut-être bien plus avancées techniquement que la nôtre aujourd’hui. Avant nous, des centaines de civilisations avancées ont existé sur Terre et des millions dans l’univers. La place que nous occupons sur l’échelle de l’évolution du monde est si petite que nous ne pouvons même pas la représenter à l’échelle sur une feuille de papier A4! Oublions son aspect éphémère et comprenons qu’il serait incompréhensible que nous ne croisions pas d’autres civilisations ou que nous ne trouvions pas de traces de civilisations avancées précédentes qu’elles fussent de « chez nous » ou d’ailleurs.

Les limites de l’archéologie

Alors pourquoi ne trouvons-nous pas en permanence et partout des traces de civilisations anciennes?

D’abord, il y en a, comme par exemple les pyramides diverses, les constructions anciennes incompréhensibles, les marques diverses déroutantes (Nazca et autres en Chine). Au Liban à Baalbek, un chantier de pierres de taille pesant 2 000 tonnes a été abandonné. Par qui ?

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La disparition des traces des civilisations

Ensuite, il faut savoir combien de temps les traces d’une civilisation peuvent subsister dans un univers en évolution permanente. Des documentaires TV ont été diffusés pour nous expliquer qu’après l’extinction d’une espèce, les traces physiques d’une civilisation disparaîtraient complètement au bout de 25 000 ans ou au mieux 250 000 ans s’il y a des traces de radio activité. Mais comme les étoiles de notre galaxie baignent dans les rayons gamma, bien malin sera celui qui saura faire une différence.

Les camouflages de découvertes archéologiques

Lorsque l’on s’intéresse au problème des traces de civilisations anciennes (pas 5 000 ou 10 000 ans mais 1 million d’années ou 100 millions d’années) et que l’on consulte les publications archéologiques, on découvre que beaucoup de découvertes, non conformes à la bienséance politico-religieuse, sont écartées ou détruites. Certaines sont conservées bien à l’abri des intelligences agitatrices. J’ai même lu qu’il y aurait plus de trésors camouflés que visibles dans des musées.

Les fouilles sont superficielles

Les fouilles archéologiques sont faites en creusant le plus souvent au niveau d’un mètre et jusqu’à un maximum de l’ordre de 8 mètres. Il ne s’agit pas des travaux de génie civil débouchant sur des découvertes archéologiques, mais des fouilles dans le cade d’une recherche scientifique.
En supposant qu’il en reste quelque chose, à quel niveau se trouveraient des traces d’une civilisation qui aurait existé il y a cent millions d’années ? Il faut tenir compte de l’érosion et autres modifications du paysage dues à la géologie.

Des structures irréalisables par nous aujourd’hui

Avec la généralisation et l’amélioration des communications de plus en plus d’image sont publiées par des chercheurs, canulars exclus, montrant des constructions que nous sommes bien incapables de reproduire ou même de comprendre, maintenant, alors que nous nous considérons comme la civilisation la plus évoluée qu’il n’ait jamais existé dans l’univers. L’explication la plus facile et la plus adaptée c’est d’en attribuer leur construction a des civilisations différentes de la nôtre, qu’elles soient de chez nous ou d’ailleurs. Il ne faut pas écarter systématiquement cette explication sous le seul prétexte qu’elle n’est pas conforme aux discours religieux.

Les géants et autres créatures ignorées et rejetées par la science

Il faut encore moins écarter cette hypothèse car l’on sait que même les anciens documents écrits des religions décrivent des créatures différentes des humains: les géants de la Genèse, les anges, les djinns et autres entités non humaines qui ont eu un impact sur l’évolution de notre civilisation.
Là encore le monde religieux, scientifique et politique ne veut pas prendre en considération des faits qu’il ne comprend pas ou à propos desquels quelqu’un lui a conseillé de ne pas s’en occuper car ces hypothèses là seraient nuisibles à son évolution personnelle. Résultat: des traces de civilisations antérieures à la nôtre existent et certains personnages sont mentionnés dans les écritures saintes, mais tout ceci doit être ignoré. Résultat, les dirigeants du monde mentent aux citoyens depuis 2 000 ans au moins pour conserver le pouvoir et des avantages à la charge de ces mêmes citoyens.

Les grandes religions décrivent la création de la Terre et de l’homme

La Bible, le Coran, la Bhagavad-Gita, Le Kojiki dont j’ai lu des extraits, mentionnent que la Terre a été créée par un ou plusieurs dieux et que l’homme a aussi été crée par ces mêmes divinités. Viennent s’ajouter aux humains d’autres personnages plus proches des dieux que ne le sont les humains. Certains existaient avant que l’homme ne soit créé alors que d’autres, comme les Djinns ont été créés en même temps que l’homme à partir des flammes du feu. L’homme ayant été créé à partir des cendres du feu, a donc été créé après les Djinns.
La documentation existe, elle est abondante, il n’y a qu’à lire. Les textes se recoupent bien: l’homme a été déposé sur Terre à un certain moment et à ce moment là d’autres créatures évoluant à proximité des dieux existaient déjà.

La Bible Septante serait due à l’initiative du fondateur de la Bibliothèque d’Alexandrie, Démétrios de Phalère, qui vers 270 av. J-C. aurait suggéré à Ptolémée II d’ordonner la traduction en grec de tous les livres israélites, textes sacrés et narrations profanes. Des savants juifs au nombre de 72 (six de chacune des douze tribus d’Israël) auraient été chargés de ce travail qui, en leur honneur, porte le nom de Version des Septante.
Pour la version française, Louis Segond (c’est le nom de famille), né en 1810 et mort en 1885 à Genève, est un pasteur protestant et théologien qui, à la demande de la Compagnie des Pasteurs de Genève, a traduit la Bible en français à partir des textes originaux hébreux et grecs, c’est la traduction « Segond ».
A retenir, le texte de La Genèse 6.1 à 6.4 qui mentionne en particulier que « Les géants étaient sur la terre en ces temps-là, après que les fils de Dieu furent venus vers les filles des hommes, et qu’elles leur eurent donné des enfants: ce sont ces héros qui furent fameux dans l’antiquité« .
Ce texte n’apparait plus sur certaines éditions récentes de la Bible.

Le Coran est le texte sacré de l’islam, qui reprend la parole de Dieu. Ce Livre reste le premier et le plus ancien document littéraire authentique connu en arabe jusqu’à ce jour, comme la tradition musulmane le présente.

La Bhagavad-Gita qui est la partie centrale du poème épique Mahabharata, est un des écrits fondamentaux de l’hindouisme.

Le Kojiki est l’un des plus ancien écrit japonais existant puisqu’il date de 712 après J.-C. C’est un recueil de mythes et de légendes expliquant la fondation du Japon comme la formation des iles, l’origine des dieux ou la ligné des Empereurs. Il a fortement inspiré le shintoïsme et il est considéré comme l’un des textes fondateurs du Japon.

Les livres apocryphes

En ce qui concerne la Bible, elle a donc été rédigée en Grec par 72 savants juifs qui ont regroupés tous les textes sacrés des livres Israélites. Enfin… presque tous car en lisant plus attentivement on s’aperçoit que beaucoup de textes hébraïques d’origine ont été écartés pour faire la Bible Septante.
En parcourant des extraits de ces livres on y trouvera beaucoup de mentions d’êtres supérieurs non humains interférant avec les humains.

Même les livres sacrés mentionnent clairement l’existence de créatures supérieures avant et après l’arrivée de l’homme. D’autres écritures considérées comme sacrées mais pas retenues pour faire Le Livre Sacré, donnent plus de détails sur des créatures supérieures diverses.

Alors est-il raisonnable de s’interroger encore sur la probabilité de l’existence « d’anciens astronautes »?

Des civilisations plus ou moins développées ont existé depuis des milliards d’années. On remarque bien le caractère éphémère de la nôtre. Comme pour les civilisations précédentes il ne restera rien de la nôtre dans 100 000 ans. Mais d’autres civilisations vont apparaître, certaines moins avancées techniquement que la nôtre, certaines beaucoup plus. Certaines d’entre elles comprendront comment aller rendre visite à d’autres civilisations dans l’univers. Les contacts et les échanges continueront d’exister. Certains dirigeants de ces civilisations tiendront des discours universels d’ouverture et d’autres, comme la nôtre, affirmeront à leurs citoyens que le centre de l’univers c’est eux, que personne ne peut venir jusqu’à eux et qu’il est vain d’essayer d’aller voir si l’herbe est plus verte dans le pré d’en face.

Notons au passage le gros travail fait par l’équipe qui réalise la série TV des « anciens astronautes ». Ce titre repris par les ufologues me semble mal adapté. Certes, des habitants d’autres planètes ont existé bien avant notre présence sur Terre et ils nous ont rendu visite depuis que nous existons. Ils continuent cependant de nous rendre visite. Le mot ancien n’est pas adapté, puisque ces voyageurs de l’espace et du temps passeront ou s’installeront sur Terre bien après notre disparition.
Nous avons besoin d’un autre mot pour désigner ces voyageurs intemporels de l’univers.

Jacky Kozan, le 1er septembre 2016

Nul besoin de fédérer l’ufologie, c’est fait.

Régulièrement des volontaires proposent de regrouper des associations afin que l’ufologie ait plus de puissance et plus d’impact qu’elle n’en a aujourd’hui sur le monde scientifique, la presse et le public. Est-ce une bonne idée? Comment la mettre en œuvre?
A mon avis, faire une organisation nationale de l’ufologie ne me parait pas possible aujourd’hui. Il y a trop de différence entre les manières d’appréhender l’ufologie.
Exemple courant: ceux qui font des enquêtes attendent que des scientifiques se bougent et ne comprennent pas que d’autres ufologues choisissent d’agir au niveau politique. Chacun est certain d’avoir raison, d’être sur le bon chemin et se moque de l’autre qui perd son temps. La cohabitation finirait par être possible, mais je ne crois pas qu’un candidat médiateur se présentera.
Par contre, la construction d’une grande association construite et travaillant en réseau, doit être plus naturelle et très efficace. Je pense au Mufon et aux Repas Ufologiques par exemple.

 

Commençons par examiner les motivations des ufologues qui ont créé des associations.

Pourquoi quelqu’un qui s’intéresse à l’ufologie décide-t-il de créer une telle structure?

voyons-en quelques unes.

– le sens du devoir: une personne à l’impression de « savoir » plus que d’autres ou qu’elle a plus d’aptitudes à faire certaines choses que d’autres. Elle décide qu’il est de son devoir de diffuser son savoir ou de mettre ses aptitudes à la disposition d’autres personnes. Elle trouve ensuite d’autres personnes qui tiennent le même raisonnement et l’association peut ainsi démarrer.
La motivation c’est: « je sais des choses, j’en fais profiter les autres; en échange je vous demande de m’apporter des choses nouvelles pour que tout le monde en profite et se perfectionne. » La plupart des associations ufologiques qui existent depuis longtemps fonctionnent sur cette base. A ma connaissance, dans le monde, elles ne sont pas nombreuses. Souvent leur budget est égal à zéro, elles ne peuvent avoir d’activités régulières ni même d’organisation et encore moins de plan de développement. Ne pouvant pas tenir des engagements, il n’est pas question qu’elles s’engagent dans une coopération avec d’autres structures. Elles se limiteront à assurer la permanence du discours ufologique.

– l’égo du créateur: son véritable objectif, c’est de faire parler de lui, de voir son nom écrit aussi souvent que possible en haut des affiches. L’ufologie pour lui n’est qu’un prétexte, c’est le moyen qui lui convient pour essayer d’être bien dans sa peau. Pour ce type d’association, pas question de se voir coller un « patron » que serait une association fédératrice.

– la motivation financière immédiate: beaucoup essaient de se faire « un petit peu de fric » en « bidouillant » en ufologie. Le marché potentiel semble énorme, mais il est subtil. Tout est bon pour essayer de faire rentrer du cash: livres, magazines, abonnements Internet, boutiques à gadgets, etc… Là, pas question non plus de respecter une quelconque organisation, l’objectif c’est le fric, ce n’est ni le devoir de formation ni le travail sérieux.

– la motivation financière à moyen terme: c’est la démarche sectaire qui permet de s’assurer des revenus confortables sur le dos de quelques gogos. Il n’y a que leur organisation propre qui peut leur convenir. Ce qu’ils veulent justement c’est être différents.

– la motivation financière à long terme: des financiers de haut niveau sentent bien que dans l’avenir l’ufologie sera la source de profits encore plus monstrueux que ceux qu’ils connaissent aujourd’hui. Ils commencent à investir pour veiller et être prêts à passer à la vitesse supérieure lorsque le moment sera venu (ce sont les associations « exopolitiques »).
Quand les financiers décideront d’intervenir, ils organiseront l’ufologie comme bon leur semble en distribuant des carottes par ci, des coups de bâton par là pour façonner ce nouveau champ d’applications. Ce sera difficile de voir un milliardaire adhérer à une fédération d’associations.

– l’existence officielle locale: on créé une association pour recevoir des invitations aux pots et aux cérémonies locales, pour recevoir de petites aides locales de la Mairie et se partager ensuite des bons d’essence, se faire un petit repas de fin d’année sympa ou pour être publié dans la presse locale. Le titre du journal local sera: « ce soir à la Salle des Fêtes de Trifouilly-les-Oies, Monsieur N va parler des petits hommes verts! ». Monsieur N deviendra quelqu’un aux yeux de sa boulangère et de quelques notables. Là encore l’ufologie est le choix par défaut pour se faire connaitre. Là non plus, pas question d’envisager de se fédérer.

– la motivation caractérielle: dans une population de 100 il y en a environ 5 qui tiennent absolument à être différents des autres. Il y a probablement des associations ou forums qui existent, créées par de tels personnages. Ils n’accepteraient qu’une « fédération unipersonnelle ».

– les motivations sécuritaires: quelqu’un créé une association sous la pression des agences de renseignements ou de sécurité pour canaliser l’ufologie et en contrôler d’éventuels débordements pouvant troubler la sécurité intérieure du pays. Ces associations accepteront d’entrer dans une fédération. Quelle aubaine! Ce sera un accès immédiat au « contenu » de plusieurs autres associations. Prudence…

 

Aspects pratiques, fonctionnement

Les motivations pour créer les associations font qu’il est quasi impossible de les fédérer. De plus, ce n’est pas uniquement les divergences de méthodes et d’opinions qu’il faut prendre en compte et essayer d’homogénéiser, ce sont les aspects matériels. Comment fonctionner? Qui va faire quoi? qui va financer quoi? qui va encaisser quoi? La richesse des ufologues n’étant pas évidente, à moins de trouver un « Ufologist Angel », l’aspect matériel sera un gros obstacle à passer. Est-ce que les bonnes intentions prises en commun seront respectées. En général au cours d’une assemblée chacun expose ses bonnes intentions et son engagement,  mais la porte de sortie passée tout est oublié.
En ufologie le pouvoir exécutif n’existe pas. Il n’y a pas d’outils pour contraindre les ufologues à respecter leurs décisions et encore moins les décisions d’autrui. Pas question non plus, d’envisager une autodiscipline. Chacun veut faire ce qu’il veut et pour un ufologue l’important c’est de ne pas faire comme les autres. Ce qui est logique car pour s’investir sérieusement et à fonds perdus dans l’ufologie… il vaut mieux faire partie des 5% de la population qui veut se démarquer des autres.

Certains acteurs de l’ufologie se découvrent des affinités, des points de vue communs ou très proches et des rapprochements se font naturellement avec le temps. Ce qui a donné naissance aux Repas Ufologiques dont la puissance de communication est exemplaire. C’est une autre forme de fédération, mais c’est celle qui me semble la plus efficace dans le contexte ufologique actuel. N’hésitons pas à renforcer ce qui existe déjà en apportant chacun notre savoir faire. Nous augmenterons le poids de ce qui existe, alors qu’une nouvelle tentative de fédération n’aura pour résultat que la division, la faiblesse et la disparition.

Jacky Kozan le 3 mai 2015 m’exprimant à titre personnel.

Le rapport DENEB – Coyame – Chihuahua

Deneb est un groupe organisé au sein de l'administration américaine qui ferait de la résistance contre les équipes de la conspiration. De par leur fonction au sein de l’administration ils voient passer les rapports secrets concernant les ufos, comprenant l'importance du problème ils se seraient organisés en un groupe de résistance qui aurait pour objectif d‘informer la population a travers les ufologues sur des cas importants comme le crash de Chihuahua.

A la lecture du rapport on peut constater que ces gens là savent de quoi ils parlent. Ils ont en particulier rencontré des membres de l'équipe de récupération US. Le rapport Deneb a été fait par des personnes qui connaissaient les procédures et les technologies militaires de l'époque ainsi que tous les divers aéronefs mentionnés. Ils ont aussi une connaissance intime du Texas occidental et du Nord du Mexique.
Une enquête sur le rapport Deneb a duré plus de dix ans. Personne n‘a jamais sérieusement contesté son authenticité.

L'article présenté ici est un résumé du rapport complet envoyé aux ufologues américains.

Quant a l'auteur: "JS"? C'est "JS", c‘est tout ce que l'on sait de lui (ou d'elle). C‘est certainement un pseudo. C'est un résistant évoluant dans un milieu conspirationniste. Il est normal qu'il (elle) prenne un minimum de précautions.

 


Voici le rapport (ATTENTION ça « déménage »!)

Pour: Tous les membres de l’équipe DENEB
De : JS
Date : 23 mars 92
Objet : Recherche et conclusions sur le crash du disque de Chihuahua

Le 25 août 74 à 22h07, le radar de défense aérienne des USA a détecté un objet inconnu en approche de l’espace aérien des USA, venant du Golfe du Mexique. A l’origine l’objet a été dépisté à 4 000 km/h (2 200 nœuds) à une position de 325 degrés et à une altitude de 22 000 mètres (75 000 pieds), une trajectoire qui aboutit sur le territoire des USA environ soixante kilomètres au sud-ouest de Corpus Christi au Texas. Après approximativement soixante secondes d’observation, à une position de 250 km (155 miles) au sud-est de Corpus Christi, l’objet a simultanément ralenti à approximativement 3 000 km/h (1700 noeuds), viré à un cap de 290 degrés et a commencé une descente lente. Il est entré dans l’espace aérien mexicain a environ 60 km (40 miles) au sud de Brownsville au Texas. Le radar l’a dépisté à environ 800 km (500 milles) de la ville de Coyame, dans l’état de Chihuahua, pas loin de la frontière avec les USA. Là, l’objet a soudainement disparu des écrans de radar.

Pendant le vol au-dessus de l’espace aérien mexicain, l’objet qui s’était stabilisé à 13 000 mètres (45 000 pieds), est alors descendu à 6 000 mètres (20 000 pieds). La descente a été faite par paliers et non pas en suivant une trajectoire balistique ou une ligne droite. Chaque palier a été maintenu pendant environ cinq minutes.
L’objet a été détecté par deux installations de radars militaires différentes. Il aurait été dans la portée du radar civil de Brownsville, mais on suppose qu’aucun radar civil n’a détecté l’objet pour la simple raison qu’il n’y a pas de tel rapport. Le point de disparition des écrans de radar était au-dessus d’un secteur désertique et peu peuplé du Nord du Mexique. Au début, on a supposé que l’objet était descendu au-dessous de l’horizon du radar et une surveillance a été exercée en attendant une éventuelle réapparition de l’objet. Mais cela ne s’est pas produit.

On a d’abord supposé que l’objet pouvait être un météore en raison de la trajectoire à grande vitesse et descendante. Mais les météores voyagent normalement à des vitesses plus élevées, et descendent en suivant une trajectoire balistique, pas par paliers. Et les météores ne font, en principe, pas de changements de direction de 35°. Peu de temps après la détection, une alerte de défense aérienne a été lancée. Cependant, avant qu’une forme d’interception ait eu le temps de décoller, l’objet a tourné et pris une direction qui ne l’aurait pas placé immédiatement au-dessus du territoire des USA. L’alerte a été annulée dans les vingt minutes après la disparition de l’objet de l’écran de radar.

Cinquante deux minutes après la disparition, la radio du trafic civil a indiqué qu‘un avion civil était tombé dans ce secteur. Mais il était clair que l’avion manquant était parti d’El Paso International à destination de Mexico, et ne pouvait donc pas être l’objet détecté et suivi au-dessus du Golfe du Mexique.

On a cependant noté que les deux ont disparu dans le même secteur et en même temps.

Au petit jour suivant, les autorités mexicaines ont commencé une recherche de l’avion civil absent. A environ 10h35 ils reçoivent un signal par radio signalant que l’épave de l’avion manquant avait été repérée par un avion. Presque immédiatement est arrivé un rapport mentionnant la présence d’un deuxième avion au sol, à quelques kilomètres du premier. Quelques minutes plus tard un rapport additionnel a déclaré que le deuxième « avion » était de forme circulaire et apparemment en une seule pièce, bien qu’endommagé. Quelques minutes plus tard, les militaires mexicains ont appliqué un silence radio sur toutes les opérations de recherche.

Les interceptions radio ont été rapportées à la CIA. Probablement que deux autres organismes gouvernementaux ont également reçu ces rapports, mais ceci n’a pas été confirmé à ce jour. La CIA a immédiatement commencé à former une équipe de récupération. La vitesse avec laquelle cette équipe et son équipement ont été constitués laisse supposer que cette opération ait été un exercice bien préparé ou un exercice qui avait été déjà été fait avant cet événement.
Pendant ce temps, des demandes ont été faites au niveau le plus élevé par le gouvernement des États-Unis auprès de celui du Mexique pour permette aux équipes de récupération US d’apporter leur « aide » sur le territoire mexicain. Ces demandes ont été ignorées et toute coopération catégoriquement refusée.

Vers 21h00, le 26 août 74, l’équipe de récupération s’était constituée et entrait en scène à Fort Bliss. Plusieurs hélicoptères ont volé depuis une base inconnue et se sont rassemblés dans un secteur sécurisé. Ces hélicoptères étaient peints de couleur sable et ne portaient aucune inscription. Un témoin oculaire a indiqué qu’il y en avait trois petits, très probablement des « UH1 Hueys » d’après la description. Il y en avait également un plus grand, probablement un « Sea Stallion ». Le personnel de cette équipe est resté avec les appareils et n’a eu aucun contact avec le reste du personnel de Fort Bliss.

Les survols par les satellites et les avions de reconnaissance, ce jour, ont indiqué que le disque au sol et l’avion civil avaient été enlevés du site de l’accident et chargés sur des camions plateforme. Les survols suivants ont confirmé que le convoi avait quitté le secteur et était parti vers le Sud.

A ce moment la CIA devait faire un choix entre permettre à cet aéronef inconnu de rester dans les mains du gouvernement mexicain, ou lancer l’équipe de récupération, complétée par un appui adapté des militaires, afin de récupérer le vaisseau. Mais il s’est produit un événement qui leur a enlevé le choix de la décision. Les survols de haute altitude ont indiqué que le convoi s’était arrêté avant d’atteindre des secteurs habités ou des routes principales. Les reconnaissances sur le terrain ne témoignaient d’aucune activité, et les contacts radio entre l’équipe mexicaine de récupération et ses états-majors avaient cessé. Un survol à basse altitude et à grande vitesse a été commandé.

Les photos prises par cet avion ont montré que tous les camions et jeeps se sont arrêtés, certains avec les portes ouvertes, et deux corps humains se trouvaient au sol près de deux véhicules. La décision de lancer l’équipe de récupération a été immédiatement prise mais son lancement réel a été suspendu en attendant l’arrivée de matériel et de 2 personnes supplémentaires. Ce n’est pas avant 14h38 que les hélicoptères sont partis de Fort Bliss.

Les quatre hélicoptères ont suivi la frontière en descendant vers Presidio puis ont tourné et sont entrés dans l’espace aérien mexicain au nord de Candelaria. Ils furent au-dessus de l’emplacement du convoi à 16h53. Tout le personnel du convoi était mort, la plupart dans les camions. Quelques membres de l’équipe de récupération, habillés en combinaison de bio-protection, ont défait les courroies tenant l’objet sur le camion plateforme, puis l’ont attaché à un câble de transport de charge du gros hélicoptère « Sea Stallion ». A 17h14 l’objet récupéré était en route vers le territoire des USA. Avant de partir de l’emplacement du convoi, les membres de l’équipe de récupération ont rassemblé les véhicules et les corps mexicains, puis ont détruit le tout avec de puissants explosifs, y compris les morceaux de l’avion léger civil qui avait été impliqué dans la collision entre ciel et terre. A 17h46 les petits hélicoptères « Hueys » sont aussi partis.

Les « Hueys » a été rattrapés par le « Sea Stallion » au moment de son entrée dans l’espace aérien des USA. L’équipe de récupération a continué jusque dans les Davis Mountains, à un point situé à environ 40 km (25 miles) au nord-est de Valentine. Là, ils ont débarqué et ont attendu jusqu’à 02h25 du matin suivant. A ce moment-là ils ont repris le vol pour un rendez-vous avec un petit convoi sur une route entre VanHorn et Kent. Le disque récupéré a été transféré sur un camion assez grand pour le contenir et le cacher totalement. Une partie du personnel de l’hélicoptère Huey a été transférée dans le convoi.

Tous les hélicoptères sont alors repartis à leurs bases de départ pour des procédures de décontamination. Le convoi a continué non-stop, suivant les routes de l’arrière pays, les petites routes de liaison, et restant loin des villes. La destination du convoi était Altanta en Géorgie.

Ici l’évidence s’amincit. Un rapport non confirmé indique que le disque a été par la suite transféré à la base aérienne militaire de Wright-Patterson . Un autre indique que le disque a ensuite été soit transféré vers une autre base anonyme, soit pris directement à Atlanta à destination de cette base inconnue.

La meilleure description du disque c’est qu’il avait 5 mètres de diamètre, convexe à la fois sur le haut et sur le bas, symétrique, ne possédant aucune porte ou fenêtre évidente. Son épaisseur était légèrement inférieure à 1,50 mètre. Sa couleur était argentée, tout comme l’acier poli. Il n’y avait aucune lumière visible, aucun moyen de propulsion identifiable. Il n’y avait aucune inscription. Deux secteurs de la bordure circulaire présentaient des dommages, l’un était un trou irrégulier d’environ 30 centimètres de diamètre, sa périphérie était dentelée. L’autre dommage a été décrit comme une « bosse » d’environ 65 centimètres de large. Le poids de l’objet a été estimé à approximativement 700 kilogrammes, sur la base de l’effet du poids sur l’hélicoptère porteur et d’après ceux qui l’ont transféré sur le camion.

Il n’y avait aucune indication dans les documents disponibles concernant quelque chose en évidence dans le « trou ». Il semble probable que les dommages ayant créé le trou aient été provoqués par la collision avec l’avion civil. Cette collision s’est produite tandis que l’objet voyageait à environ 3 000 km/h (1700 nœuds). Même si nous ignorons la vitesse de l’avion civil, l’impact aurait été considérable à cette vitesse. Ceci est en accord avec la description de l’avion civil comme « étant presque totalement détruit ».  Ce qui avait été ramassé à l’endroit de l’accident était des morceaux de l’avion civil.

Le deuxième dommage a pu avoir résulté de l’impact de l’objet avec la terre. La vitesse dans ce cas a du être considérablement moins grande que lors du premier impact.

Aucune mention n’est faite des occupants de l’avion civil. On ne sait pas si des corps ont été récupérés. Considérant que l’avion léger civil a été détruit entre le ciel et la terre, les corps ont pu être éjectés et ne pas être tombés près des autres grands morceaux.

Malheureusement ce qui a causé le décès de l’équipe de récupération mexicaine n’est pas connu. Les hypothèses vont d’un produit chimique libéré par le disque suite aux dommages, à un agent microbiologique. Il n’y a aucune indication de mort ou de maladie par l’une ou l’autre des équipes de récupération. Il aurait été logique que l’équipe de récupération US rapporte un des corps avec eux pour analyse. Mais il n’y a aucune indication que cela ait été fait. Peut-être n’avaient-ils pas de moyens adaptés pour le transport de ce qui pourrait avoir été un corps biologiquement contaminé.

Une enquête à la FAA (USA) indique qu’il n’y a aucun document concernant l’accident de l’avion civil, probablement parce qu’il n’a pas impliqué un avion des USA.

Il convient de noter que les faits ci-dessus ne rapportent pas l’histoire complète. Rien n’est connu de l’analyse du vaisseau ni de son contenu. Rien non plus au sujet des décès dans l’équipe de récupération mexicaine. Nous ne savons même pas si ce vaisseau était piloté.

D’autres questions se posent, comme: pourquoi un disque récupéré est-il parti pour Altanta ? Et d’où le disque est-il venu ? Il a été la première fois détecté à plus de 300 km (200 miles) du territoire des USA, pourtant les moyens de défense aérienne des USA se prolongent à une distance beaucoup plus grande que cela. Si l’objet descendait dans l’atmosphère, peut-être que le système de surveillance de l’espace du NORAD a des enregistrements de l’objet. Une autre possibilité est qu’il est entré dans le Golfe du Mexique en dessous des limites radar puis a « bondi » jusqu’à 75.000 pieds. Vu les comportements antérieurs des disques de cette taille, il est probable que l’entrée dans l’atmosphère ait été faite depuis une altitude orbitale.

Les faits qui sont connus ont été recueillis dans les récits de deux témoins visuels, dans de la documentation copiée illégalement, et d’un document partiellement détruit. Ceci a été fait en 1978 par une personne qui est maintenant décédée. Seulement en février de cette année [1992] les notes et les documents sont arrivés entre les mains de notre groupe.
FIN DU DOCUMENT


Des ufologues ont enquêté récemment sur place: Noé Torrès et Ruben Uriarte (membre de l’Académie d’ufologie). Ils ont fait deux livres:

Le corps cosmique de TUNGUSKA en 1908

Cette affaire est pour moi l’affaire ufologique la plus importante.

timbre de 40 Kopecs avec Tunguska 1908 et le Dr. Kulik

Ce n’était ni un astéroïde, ni une comète.
La trajectoire du corps cosmique a changé avant l’impact.
Des traces ont été trouvées dans la résine, le bois et la tourbe de 1908.
Des mutations génétiques sont apparues sur des espèces végétales et animales.

L’événement s’est produit au centre de la Sibérie, dans la région de la Toungouska. Le 30 juin 1908, une mystérieuse explosion a embrasé la forêt sibérienne. Le Corps Cosmique de Tunguska, qui avait une trajectoire sud-est/nord-ouest, apparut au nord du lac Baïkal et survola le ciel sibérien jusqu’à 60 km au nord de Vanavara, avant d’exploser dans l’atmosphère à une altitude d’environ 5 km. La déflagration s’est propagée sur un rayon de plus de 1.000 km. La terre a tremblé, ce séisme de magnitude 4,5 est enregistrée par l’observatoire magnétique d’Irkoutsk, à 1000 km de là. L’onde de choc fut enregistrée en Europe occidentale et aux États-Unis.
L’explosion a détruit la forêt sur un rayon de 20 kilomètres et fait des dégâts jusqu’à une centaine de kilomètres, 60 millions d’arbres ont été couchés.

(3

L’absence de cratère d’impact n’est pas compatible avec la chute d’un astéroïde et l’explosion à une altitude comprise en 5 et 10 km n’est pas compatible avec une comète.
Dans le Caucase, dans le sud de la Russie, la nuit d’après l’explosion fut si claire qu’il était possible de lire à minuit sans l’aide d’une lumière artificielle. Les nuits suivantes furent encore nettement plus claires que la normale. Cet effet, diminua très lentement et dura pratiquement deux mois, jusqu’à la fin août.
Une zone de 60 km de diamètre a été complètement dévastée par l’onde de choc balistique. Certains arbres de la forêt préexistante avaient été soufflés, arrachés par les racines qui étaient dirigées vers l’épicentre du cataclysme.

Des chercheurs soviétiques ont découvert avec surprise que certains végétaux qui poussent aujourd’hui dans le périmètre de la région sinistrée en 1908 ont une vitesse de croissance sensiblement supérieure à la normale. Elle serait de l’ordre de 5 à 10 fois plus rapide que dans les régions voisines non sinistrées. Des mutations génétiques sont également apparues sur la végétation plusieurs espèces d’insectes qui ont repeuplé la région sinistrée.

La première expédition scientifique sur place n’est intervenue qu’en 1927, soit 19 ans après l’événement.

Le Dr. Leonid Kulik et Q.G. des expéditions


Vous trouverez dans le texte ci-dessous de Monsieur l’Académicien Nikolay Vasilyev (†) les éléments qui vous permettrons d’évaluer l’importance des évènements et de comparer avec la perception que peuvent en avoir le monde scientifique et le monde de la communication en occident. J’ai traduit ce texte en 2006 mais la publication originale en Russe date de 1996.

Plus récemment le spécialiste du « Mystère de Tunguska » était le Dr. Vladimir Rubtsov. Son livre bien documenté est passionnant, facile et agréable à lire. Je le remercie encore pour toutes les informations et images qu’il a partagé avec nous.

Deux personnages importants
Voir leurs biographies à la fin de cet article

 


 

LE PROBLÈME DE LA MÉTÉORITE DE TUNGUSKA AUJOURD’HUI

Commission sur les météorites et la poussière cosmique, branche sibérienne de l’académie russe des sciences, université de Tomsk, Tomsk, Russie,

Institut de Kharkov Mechnikov pour la microbiologie et l’immunologie, Kharkov, Ukraine

par Monsieur l’Académicien N.V. Vasilyev (†)

Chairman du Groupe de Travail International Tunguska
qui s’est tenu à Bologne, Italie, du 14 au17 juillet 1996

 

I – Introduction

Aujourd’hui le problème de météorite de Tunguska peut être considéré comme une partie importante du plus grand problème que représente la collision possible de la terre avec ces corps cosmiques appelés les Objets de Proximité Terrienne. Pour estimer l’échelle du danger de collision menaçant notre planète, on devrait baser la recherche non seulement sur les calculs de la probabilité de collision, mais également sur les résultats d’enquêtes sur de tels événements dans l’histoire de la Terre.

Les informations sur l’événement de Tunguska obtenues pendant approximativement 90 ans d’enquêtes sont énormes. Cependant, leur majeure partie est le résultat du travail effectué après 1945 et est édité en littérature scientifique Russe, dans la langue Russe et en conséquence, n’a pas été disponible pour les scientifiques de l’Ouest. Nous considérons qu’il est important de présenter une brève vue d’ensemble de l’état de l’information Tunguska et d’en discuter ses aspects les plus importants, ce qui pourra jouer un rôle important dans la recherche d’une solution finale à ce problème.

Le terme  » événement de Tunguska  » se rapporte au phénomène cosmique qui a été observé le 30 juin 1908 en Sibérie centrale au-dessus du territoire de Krasnoyarsk, de la région d’Irkoutsk, et du Yakutiya. L’élément le plus remarquable de l’événement fut l’explosion d’un objet spatial d’origine inconnue. L’événement a été observé dans beaucoup de zones habitées de la région. Le vol de l’objet a été accompagné de bruit, de séismes, et d’effets électro-acoustiques, qui ont couvert un vaste territoire. L’échelle de ces effets détermine la taille d’un bolide d’une magnitude de -22 à -17. Son éclat était comparable à celui du soleil. Beaucoup de témoins oculaires ont observé une traînée des bandes iridescentes ressemblant à un arc-en-ciel.

Quand le corps de l’objet a atteint une altitude comprise entre 2,5 et 9 kilomètres au-dessus du secteur (60° 53 ‘ N, 101° 54 ‘ E), il s’est alors produit un dégagement d’énergie comme lors d’une explosion. L’équivalent en charge de TNT de l’effet est estimé de 10 à 20 (probablement jusqu’à 40 Mégatonnes), l’énergie étant estimée de 4,2×1023 à 1,7×1024 ergs. Il y a des évidences qui suggèrent qu’après le dégagement d’énergie semblable à une explosion, au moins une partie du « Corps Cosmique de Tunguska » (CCT) a continué de se déplacer, mais vers sa direction d’arrivée, vers le haut.
« L’explosion » du CCT (Corps Cosmique de Tunguska) fut à l’origine d’une vague de séismes qui furent enregistrés dans les villes d’Irkoutsk, de Tashkent, de Tbilisi et de Jena. Il y eut aussi des perturbations de pression atmosphériques 5,9 hPa ( 0,9 minute) ou, selon une autre évaluation 6,6 hPa (0,2 mn). En plus, une tempête magnétique locale fut enregistrée qui persista plus de quatre heures et fut la cause de perturbations géomagnétiques dans l’atmosphère, semblable à celles produites par des explosions nucléaires. En Antarctique, le 30 juin 1908, il fut observé près du volcan Erébus, une aurore anormale, qui a pu être produite par l’événement de Tunguska.

L’onde choc de l’explosion de la Tunguska a dévasté 2 150 ha (25 km2) de forêt de taïga, et le flash a brûlé la végétation sur une aire d’environ 200 km2. L’explosion de la Tunguska a eu comme conséquence un feu important de forêt couvrant un domaine comparable à celui de la forêt dévastée. Les anomalies des propriétés paléomagnétiques des sols dans la région, probablement liées à cet événement, sont décrites (Sydoras, S.D., Boyarkina, A.P., 1976).

L’explosion sur le fleuve Podkamennaya en Tunguska fut l’événement le plus frappant parmi les multiples anomalies qui se sont produites pendant cet été 1908. Les observations ont commencé le 23 juin 1908 lorsque l’on a observé des lumières zodiacales intenses dans quelques endroits d’Europe de l’ouest, la région européenne de la Russie, et en Sibérie occidentale. Elles ont augmenté en intensité jusqu’au 29 juin, atteignant leur maximum dans la soirée du 30 juin. Ces anomalies ont inclus la formation sans précédent de nuages mésosphériques, des « lumières volcaniques », des perturbations de la polarisation atmosphérique, et des halos solaires intenses. Après le 1er juillet ces effets se sont affaiblis exponentiellement ; on a observé quelques répercussions jusqu’à fin juillet.

Le secteur où l’on a observé ces phénomènes est délimité à l’est par le fleuve Yenisey, au sud par la latitude de Tashkent-Stavropol-Sébastopol-Bordeaux, et par la côte atlantique dans l’ouest. En août dans l’hémisphère occidental, l’observatoire du Mont Wilson a rapporté une diminution de la transparence de l’air, qui pourrait être expliqué par la circulation des produits de l’explosion de la Tunguska dans l’atmosphère. En plus du nuage d’aérosol de la Tunguska, il y avait des produits d’un autre grand bolide qui est entré dans l’atmosphère terrestre en mai 1908. Il a été envisagé également que l’événement de Tunguska ait influencé la couche d’ozone car peu après l’explosion de Tunguska un phénomène semblable à l’effet bien connu de Bowen, qui suit des pluies de météore, a été enregistré.

Il faut également noter que l’été de 1908 a été riche en bolides lumineux.

Ni les expéditions en Tunguska avant la deuxième guerre mondiale qui ont été dirigées par L.A. Kulik, ni les travaux d’après-guerre sur le terrain dirigés par Florensky, Plekhanov, Zolotov et Vassilyev, n’ont trouvé de trace d’explosion, cratère d’impact ou grands fragments du CCT (Corps Cosmique de Tunguska). La recherche de la matière cosmique finement dispersée dans les sols et la tourbe du secteur de la catastrophe, soit plus de 10 000 km2 n’a pas eu comme conséquence la découverte d’un matériau qui pourrait être différenciée avec certitude des chutes de matières cosmiques habituelles. Cependant, des éléments biogéochimiques et des anomalies isotopiques qui peuvent être liés à l’événement ont été découverts dans le secteur de la catastrophe.

La présence de grandes quantités de microparticules enrichies en Cu, Au, Zn et autres éléments, dans la résine des arbres aux environs de l’épicentre, qui ont survécus à la catastrophe 1908 est très probablement liée à l’événement de Tunguska.

Les expéditions d’après-guerre ont mis en évidence une gamme complexe des conséquences écologiques suite à l’explosion de Tunguska, à savoir :

1) croissance accélérée des nouveaux arbres (ceux qui ont poussé après la catastrophe) et des arbres qui ont survécu à l’événement ;

2) effets génétiques sur la population, principalement vers l’épicentre et le long de la trajectoire du CCT.

Ce document est un examen général du phénomène de Tunguska qui, s’avère essentiellement différent des phénomènes des autres impacts. Les nombreuses hypothèses qui ont été proposées pour essayer d’expliquer l’événement de Tunguska peuvent être classées en deux groupes. L’un inclut les hypothèses basées sur le concept de la conversion de l’énergie cinétique du CCT dans l’énergie de l’onde de choc. L’autre groupe prend en compte les hypothèses qui soulignent une libération de l’énergie interne du corps, sous forme soit chimique soit nucléaire.

Le premier groupe d’hypothèses implique le concept d’un CCT de nature astéroïdal, ou de nature cométaire. Ceux-ci peuvent être classifiés comme hypothèses basées sur les concepts classiques des corps mineurs du système solaire.

Les dernières hypothèses démontrent un CCT de nature spéciale différente de celle des astéroïdes ou des comètes. Elles prennent en considération les hypothèses que l’objet de la Tunguska pouvait être de nature antimatière ou un trou noir miniature, ou un « energophore solaire » (fusion thermo-nucléaire), ou même comme étant d’origine technogène.

Il est à la fois temps et nécessaire de prendre en considération les graves difficultés que l’on rencontre lorsque l’on veut tenter d’élaborer un concept cohérent du phénomène de la Tunguska.

 

II – La trajectoire du CCT

Les premiers enquêteurs du CCT qui ont analysé les paramètres évidents de la trajectoire de l’objet dans la région de la rivière Angara n’ont eu aucun doute sur le fait qu’il s’était déplacé du Sud vers le Nord. Cependant, il y a eu trois options concernant une trajectoire plus précise:
– une trajectoire Sud, proposée par L.A. Kulik,
– une trajectoire Sud-est proposée par E.L. Krinov,
– une trajectoire Sud-ouest proposé par I.S. Astapovich.
Au début des années soixante c’était la trajectoire de Krinov, à savoir 135°, qui fut considérée comme la plus réaliste.

Plus tard, cependant, un « couloir » avec un axe de symétrie de déviation différent de celui des arbres abattus dans la trace radiale principale a été mis en évidence. Cette déviation a été interprétée comme la trace de l’onde balistique. L’orientation du « couloir » qui, au départ, a été évaluée à 111° NE (114° à l’est du méridien géographique), s’est avérée plus tard être à 95° NE (99°, à l’est du méridien géographique). Entre temps des résidents âgés du secteur, qui vivaient sur les hauteurs du Nizhnaya Tunguska en 1908, ont été interrogés. Aucun témoin oculaire de ce secteur n’avait été interrogé dans les années 20 et 30. Ceci a eu comme conséquence la conclusion que l’objet s’était déplacé de l’Est sud-est à l’Ouest nord-ouest, c’est à dire par le chemin coïncidant avec celui de la trajectoire du CCT. Cette coïncidence a fait réviser l’évaluation de la trajectoire de CCT et c’est ainsi que depuis l’année 1965 l’option de l’Est sud-est à l’Ouest-nord-ouest a prédominé dans la littérature. Pendant plusieurs années elle a été considérée comme un résultat définitif.

Mais plus tard la publication d’un catalogue de comptes-rendus de témoins oculaires a rendu possible l’analyse de l’ensemble de l’événement. Deux faits fondamentaux ont été établis :

1. Les descriptions du bolide observé dans la région du fleuve d’Angara et observé dans la région de la rivière Nizhnyaya Tunguska sont tout à fait différentes, et de toute évidence elles concernent des objets différents.

2. La trajectoire, calculée sur la base des comptes-rendus des témoins oculaires d’Angara, diffère considérablement de celle déterminé en analysant le type de vecteur du secteur des arbres abattus et la zone radiale brûlée. En effet, l’évidence des témoignages oculaires d’Angara, y compris le rapport du dirigeant du district, suggère que le bolide ait volé « haut dans le ciel », ce qui est pleinement conforme à la trajectoire 99° à l’est du méridien géographique. Par contre, les données obtenues près de la rivière Nizhnaya Tunguska, bien qu’étant en accord avec la forme du domaine dévasté, sont en contradiction avec les observations d’Angara.

Une autre complication est que les données de Nizhnaya Tunguska suggèrent, très clairement, que le vol du bolide s’est produit l’après-midi, tandis que les données du fleuve d’Angara l’identifient comme vol tôt le matin. Les tentatives de résoudre le conflit entre les deux versions des données se heurtent à des problèmes considérables

Dans la recherche d’une sortie de ce labyrinthe, plus d’une approche a été tentée. Quelques chercheurs ont pratiquement ignoré des comptes-rendus de témoins oculaires car considérés comme « matériel subjectif non fiable ». Cette approche aurait pu être acceptée dans une certaine mesure, s’il n’avait été question que de quelques comptes-rendus inconsistants, mais il y avait des centaines de comptes-rendus indépendants.

D’autres enquêteurs ont fait de leur mieux pour combiner l’évidence d’Angara, les données de Nizhnyaya Tunguska et la géométrie du secteur dévasté. Les résultats semblent être plutôt incertains.

Alors l’idée d’une trajectoire non-ballistique du CCT a été présentée, en faisant l’hypothèse qu’il s’était déplacé en commençant par suivre une trajectoire proche de celle calculée par Krinov. L’objet a ensuite suivi une trajectoire courbe et inclinée en entrant dans la zone où se joignent les rivières Nizhnyaya et Podkamennay Tunguska, après quoi il a continué son vol en direction de l’Est et finalement jusqu’à l’endroit où il a explosé.

La cause de l’incompatibilité de la projection de la trajectoire du bolide avec les données des témoins oculaires d’Angara demeure peu claire. Cependant, il faudrait prendre en considération que le fait que l’axe de la symétrie du modèle observé de destruction de forêt soit identique à la projection de la trajectoire du bolide est seulement une acceptation de la haute probabilité plutôt qu’un fait établi. Le  » couloir  » axialement symétrique est la trace de la vague balistique, là où elle a touché la surface de la terre. Il reste essentiellement une question sans réponse: quelle était sa position initiale dans l’espace ? a-t-elle changée ? pour une raison ou pour une autre ?

Cependant, il reste d’autres problèmes liés aux paramètres de chemin de CCT. La plupart des auteurs qui ont étudié cette question concluent que l’angle de la trajectoire de CCT était relativement petit. Et de plus, les modèles d’expériences et les résultats de la simulation mathématique des paramètres d’explosion de Tunguska attestent que la partie finale de la trajectoire était le plus probablement inclinée à 40°. La transition entre la trajectoire relativement plate du CCT à une trajectoire raide semble avoir eu lieu quand le bolide a approché le point où il a subi des éclatements en avalanche et un élargissement de sa surface frontale.

Le fait que le « couloir » (la trace de la vague balistique sur la forêt), comme récemment montré, se prolonge au delà de l’épicentre de l’explosion est particulièrement suspect. C’est comme si l’objet avait continué sa trajectoire en vol, après avoir éclaté. L’explication la plus raisonnable est qu’une partie du CCT a survécu à l’explosion et a continué son vol, maintenant à peu près la même trajectoire.

Il est important de rapporter certaines caractéristiques de la dévastation de la forêt à l’épicentre de la zone de l’explosion de la Tunguska.

Le site de l’explosion de nos jours

III – Quelques caractéristiques spécifiques de la dévastation de la forêt à l’épicentre de l’explosion de Tunguska.

On a affirmé que la cause principale de la dévastation de la forêt dans le secteur de la catastrophe de Tunguska fut un dégagement puissant d’énergie qui s’est produit à une altitude de 2,5 à 9 kilomètres. Il a fallu que ce soit une explosion énorme dans le ciel pour qu’elle génère une onde de choc sphérique. L’avant de l’onde de choc était à peu près parallèle à la surface de la terre à l’épicentre de l’explosion, et incliné par rapport à lui en s’éloignant de l’épicentre. Ainsi la composante verticale de l’onde de choc était la composante la plus active, tandis que la composante horizontale plus loin de l’épicentre, était de plus en plus dominante et plus prononcée dans la zone d’interférence entre l’incident et les ondes réfléchies. En première approximation, ceci peut être interprété de cette façon. Autour de l’épicentre il y a un vaste secteur de forêt morte (environ 8 kilomètres de large), roussie et exempte de branches, mais avec des arbres se tenant droits. C’est la zone d’impact de la composante verticale de l’onde de choc. A l’extérieur de ce secteur la forêt est couchée radialement sur une distance de 12 à 40 kilomètres de l’épicentre. C’est le secteur de l’impact de la composante horizontale de l’onde de choc. Si le modèle ci-dessus était fondé, alors à l’épicentre de l’explosion il ne devrait y avoir aucune forêt couchée radialement. La situation réelle est cependant, essentiellement différente. D’abord, la forêt n’a pas été détruite complètement à l’épicentre. À moins de 5 à 7 kilomètres plusieurs groupes d’arbres ont survécu. Les arbres ont attiré beaucoup l’attention des enquêteurs, et les tentatives d’expliquer leur existence, sur la base des caractéristiques du relief, n’ont pas donné de résultats anormaux. L’altitude la plus élevée du secteur étant 593 m au-dessus du niveau de la mer et la hauteur de l’explosion à 2,5 kilomètres (plus probablement 5,5 kilomètres s), nous pouvons considérer que le secteur entier est à peu près plat.

La structure du secteur de forêt couchée dans le voisinage immédiat de l’épicentre s’avère également étrange.

D’abord, l’hypothèse qu’aucun arbre dans cette zone n’était couché radialement n’est pas vraie. Les observations de la surface ont prouvé qu’il y a quelques arbres couchés aussi dans ce secteur, et le caractère radial général du couché de la forêt est constaté jusqu’à « un point spécial », à savoir le centre géométrique du secteur couché de la forêt, comme calculé par V.G. Fast (1963).

En second lieu, l’interprétation de Kulik du secteur de forêt couchée sur la base d’une enquête faite par photographies aériennes à grande échelle en 1938 a non seulement corroboré la structure vectorielle complexe du secteur de l’épicentre, mais a également suggéré au moins deux ou trois sous-épicentres.

Troisièmement, les structures vectorielles de la forêt couchée sur les flancs de coteau faisant face à l’épicentre, et sur les flancs des coteaux opposés, sont essentiellement différentes. Ceci correspond très peu avec l’hypothèse que le centre de l’onde de choc a été généré haut au-dessus de la surface de la terre.

Ainsi, nous pouvons essayer de conclure qu’avec un grand dégagement d’énergie à 5 à 5,8 kilomètres au-dessus de la terre, il y a aussi eu un certain nombre d’explosions de faible altitude (peut-être juste au-dessus de la surface), qui ont contribué à l’image de l’ensemble détruit. Ceci semble être conforté par des données au sujet du dépôt d’aérosols juste après l’explosion.

Donc, les caractéristiques de la destruction à l’épicentre suggèrent une inhomogénéité des paramètres physiques du site de l’explosion de Tunguska et une complexité des phénomènes physiques sous-jacents.

Il faut souligner que bien que l’empreinte des effets liés à l’explosion de Tunguska ait été mentionnée plusieurs fois dans la littérature, son origine n’a pas été discutée. Ceci semble être dû aux sérieuses difficultés de son interprétation en respect des modèles existants du Corps Cosmique de la Tunguska.

 

IV – Les effets géophysiques de l’explosion de Tunguska

Un des effets géophysiques les plus saisissants liés à l’explosion de Tunguska est la perturbation géomagnétique locale détectée peu de temps après l’explosion à Irkoutsk, bien qu’enregistrée par aucun autre observatoire géophysique dans le monde existant à ce moment-là. Cette perturbation était semblable aux effets consécutifs aux explosions nucléaires de moyenne et haute altitude dans l’atmosphère, mais à la différence avec ces dernières, elle s’est produite avec un certain retard ; c’est à dire qu’elle s’est produite un certain temps après l’explosion. Ce qui a fourni l’argument principal pris en compte pour expliquer l’effet géomagnétique de l’objet de Tunguska comme étant dû à l’onde choc et au temps nécessaire pour que l’onde parcoure la distance entre le point de l’explosion et la limite inférieure de l’ionosphère.

Plus tard, cependant, I.P. Pasechnik, (1986) a corrigé l’instant de l’explosion de Tungunska sur la base des mesures expérimentales directes faites sur la vitesse de la vague séismique entre Vanavara et Irkoutsk. On a constaté que le retard était nettement supérieur à 5,9 mn. Ce fait est important puisque la vitesse qui en découle pour l’onde choc dans l’atmosphère est trop basse. Par conséquent le mécanisme pris en compte pour expliquer cet effet comme étant la conséquence de l’arrivée de l’onde choc dans l’ionosphère redevient douteux. La question reste ainsi sans réponse. L’explication des « aurores anormales » de fin juin et de début juillet 1908, dues aux particules cométaires dans l’atmosphère supérieure ne convainc pas.
En effet, selon cette hypothèse, des particules de la queue d’une comète auraient été ralenties à une altitude de 200 kilomètres ou plus, ce qui aurait entraîné la formation de la plupart des anomalies lumineuses à l’altitude d’environ 80 kilomètres (la zone de la formation des nuages dans la mésosphère), jusqu’à 50 à 60 kilomètres (effets de diffraction à l’origine des aurores) et en dessous de cela (halos atmosphériques).

En outre, selon cette hypothèse, la queue de la « comète » Tunguska aurait dû s’étirer sur le Canada, et ceci n’a pas été observé. Récemment, il y a eu une tentative d’attribuer les « aurores anormales » de l’été de 1908 au transport de matériaux aérosols par les vents stratosphériques, depuis le site de l’explosion. Cependant, cette hypothèse fait face à deux contradictions :

1) Au moins 10 endroits en Eurasie ont rapporté des effets de lumière anormaux la nuit du 29 au 30 juin 1908. Ces effets ont été pratiquement simultanés avec l’explosion de Tunguska, mais l’ont aussi légèrement précédée. Ce qui rend impossible d’expliquer les effets optiques du 30 juin comme étant dû au transport mécanique d’aérosols résidus depuis le site de l’explosion.

2) Il y a eu une diminution exponentielle nette de l’intensité des anomalies atmosphériques après le 1er juillet. Ceci suggère que la cause principale des anomalies ait été due à des réactions photochimiques. Si, la cause principale des anomalies avait été la réfraction et la dispersion de particules aérosol, il aurait été plus raisonnable de s’attendre à une diminution progressive des effets, comme dans le cas des anomalies optiques induites dans les éruptions volcaniques. Aucune des explications ne s’est avérée adéquate pour expliquer les changements des propriétés polarimétriques du ciel d’aurore qui s’est manifesté comme une déviation du déplacement normal des points neutres d’Arago et de Babinet.

Ainsi, l’explication des effets géophysiques de l’objet de Tunguska est face à de sérieux problèmes.

 

V – Conséquences écologiques de la catastrophe de Tunguska

Les conséquences écologiques de l’événement de Tunguska ont été étudiées au cours des 30 dernières années. Elles peuvent être divisées en deux types principaux.

D’abord la renaissance remarquablement rapide de la taïga après l’explosion, et aussi la croissance accélérée des jeunes arbres et de ceux qui ont survécu à l’événement.

Cet effet couvre un vaste territoire, en corrélation avec la trajectoire du CCT. L’effet est observé dans tous les arbres et toutes les espèces dans la région. Pour la 22eme génération post-catastrophique de pins, il a tendance à se concentrer vers la projection de la trajectoire du CCT. Il y a deux points de vue sur la nature de l’effet :

1) La renaissance hâtive et la croissance accélérée de la forêt sont dues aux résultats généraux de l’explosion de Tunguska, comme une meilleure luminosité et de meilleures conditions thermiques dans le secteur après la mise à l’horizontale de tant d’arbres, et aussi à l’enrichissement du sol avec des micro-éléments suite au feu de forêt. Ce point de vue n’est pas sans fondement, mais il n’explique pas deux faits : une corrélation évidente de l’effet avec la projection de la trajectoire de NSB et l’anomalie entre les zones de croissance accélérée des jeunes arbres et les secteurs de forêt couchée et celui du feu de forêt.

2) Une autre possibilité est que l’effet stimulant de l’explosion de Tunguska a été dû à l’enrichissement du sol pauvre de la région par des micro-éléments cosmogéniques. Des expériences modélisées ont mis en évidence que les extraits des sols de la région enrichie avec les éléments de terres rares peuvent en fait stimuler la germination des graines de pins tout aussi bien que les graines des autres plantes. Mais les terres rares ne font pas partie de l’ensemble classique de micro-éléments cosmogéniques.

La question n’a pas été réglée, et l’effet ne peut probablement pas être expliqué par des facteurs conventionnels.

Le deuxième type de conséquences écologiques de l’événement de Tunguska est l’impact génétique. Des accroissements linéaires des pins de Tunguska ont été traités avec un algorithme distinguant les contributions des variations génotypiques et phénotypiques. Ce travail a indiqué que la fréquence des mutations dans ces pins a brusquement augmenté. Une fois encore, comme pour beaucoup d’autres effets de l’événement de Tunguska, son impact génétique est d’un caractère inégal, concentré vers le secteur de l’épicentre et le couloir de la trajectoire du CCT. L’influence thermique du feu de forêt pourrait n’être d’aucune importance dans ce cas étant donné que les contours des secteurs de l’effet mutagénique sur le feu de forêt et sur la forêt couchée sont tout à fait différents. La nature du facteur mutagénique demeure inconnue.

 

VI – Sur la substance de l’objet de Tunguska

La recherche assidue de grands fragments de l’objet cosmique de Tunguska, qui avait commencé vers la fin des années 20 et s’était terminée en 1962, a donné des résultats totalement négatifs. Il n’y a eu aucune trace de cratère. Les formations géomorphologiques autour de l’épicentre supposés être d’abord de petits cratères de météorite s’avérait être d’origine purement terrestre (marais, lacs, trous dans le thermokarst, etc.). Les tentatives pour trouver des fragments de la météorite par des analyses minéralogiques rudimentaires du sol, aussi bien qu’avec l’aide des magnétomètres, des détecteurs de métaux, etc., ont également échoué. En conséquence, la stratégie de recherche de la substance du CCT commencée dans les années 60, sous l’initiative de K.P. Florensky, a été radicalement changée. Depuis lors les efforts ont visé à rechercher des matériaux cosmiques finement dispersés pour les analyser.

Pendant plus de 30 ans après l’événement, un certain nombre d’analyses cosmochimiques, géochimiques, analytiques et autres ont été effectuées. Les principaux résultats de ce travail peuvent être récapitulés comme suit :

1. Un peu de matériaux finement dispersés de silicate et de magnétite de l’espace sont présents dans les sols et les tourbes dans et autour de la région de l’explosion. Cependant, il n’y a aucune évidence directe que ces matériaux ont un lien direct avec le CCT. Au contraire, il y a bonne raison de croire que nous avons à faire à des fluctuations de chutes des poussière de l’espace.

2. L’information sur l’anomalie d’iridium dans la glace de l’antarctique et la tourbe de la Tunguska remonte à 1908 repose sur des découvertes isolées et exige davantage de vérification.

3. Les traces de l’augmentation de la concentration des nitrates dans la glace du Groenland remontant à 1908 sont absentes.

4. La plus grande concentration des micro sphérules enrichies en cuivre, en zinc, en or et quelques autres éléments volatils et chalcophiles est située dans les couches de résine de tourbe et en bois datant de 1908, à un certain nombre d’endroits dans la région. La nature cosmogénique de ces anomalies est probable mais elles doivent être extraites et différenciées des aérosols produits par la brûlure de la tourbe et (probablement) du bois, tout autant que des cendres volcaniques.

5. Il a été indiqué dans les couches de tourbe datant de 1908, dans la zone de l’épicentre et dans la zone supposée de dispersion des produits de l’explosion, des décalages substantiels dans les compositions isotopiques du carbone (vers ses isotopes plus lourds), de l’hydrogène (vers le plus léger) et du plomb. Selon Kolesnikov, ces décalages sont dus à la substance dispersée d’un corps cosmique d’une composition de type « chondrite carboné ».

6. Un certain nombre d’anomalies géochimiques locales ont été découvertes sur le site de Tunguska, bien que leur association avec le CCT exige davantage de recherche. C’est, tout d’abord, l’anomalie de terres rares (principalement de l’Ytterbium). La concentration de cet élément dans le sol, aussi bien que dans la couche de tourbe de 1908, est anormalement élevée. La présence d’Ytterbium atteint son maximum au point d’intersection de la prolongation de la trajectoire du CCT (à condition que sa pente fut d’environ 40 degrés) avec la surface de la terre. La plus grande concentration de Terres Rares se produit principalement dans les couches récentes (c’est à dire) supérieures du sol, et pas dans des couches plus profondes, près du substrat. Avec les décalages quantitatifs, la zone affectée montre un changement radical du taux de Terres Rares.

Ainsi, la clef à la solution du problème de Tunguska, c’est à dire, la détermination des éléments constitutifs du CCT ainsi que sa composition isotopique, n’est pas encore entre nos mains, et cette d’enquête doit être poursuivie.

 

VII – la radioactivité sur le site de la catastrophe de Tunguska

L’hypothèse du caractère nucléaire de l’explosion de Tunguska a été évaluée en recherchant des radionucléides à l’épicentre du secteur d’explosion. Les résultats de cette recherche peuvent être récapitulés comme suit :

1. La radioactivité à l’épicentre de l’explosion de Tunguska est dans la gamme des fluctuations du rayonnement de fond actuel. Cependant, sa grandeur est légèrement plus élevée à l’épicentre qu’à la périphérie de la zone. La plupart des radionucléides sont concentrés dans les parties supérieures du sol et de la tourbe et ont été accumulés à partir des retombées radioactives qui ont fait suite aux essais nucléaires.

2. La distribution verticale des radionucléides dans le sol et la tourbe, n’indique pas la présence des radionucléides résultant des explosions d’essais avant 1945. La seule exception est un résultat d’une radiométrie couche par couche de la tourbe de sphaigne dans la région de Vanavara (1960), où un deuxième maximum de concentration de radionucléide a été découvert à la profondeur de 35 centimètres. Cet effet n’a pas été étudié en détail et on ne sait pas quels radionucléides en ont été responsables.

3. Les analyses de la composition isotopique des gaz inertes accumulés dans les roches près de l’épicentre n’a indiqué aucune particularité qui pourrait être expliquée par l’action de l’irradiation par des neutrons sur l’environnement normal à l’épicentre.

4. L’analyse du carbone 14 contenu dans les anneaux des arbres qui ont survécu à l’explosion de 1908, indique un excès évident par rapport à l’évaluation pour l’anneau de 1909, ce qui pourrait être prévisible si le taux de carbone 14 avait été anormalement élevé au cours de l’été 1908. L’effet est d’un caractère global et a été constaté dans la région de l’explosion de Tunguska et au-delà. Habituellement il est expliqué par l’interférence pendant les années 1908-1909 avec deux maxima d’activité solaire, à savoir des cycles de 11 ans et 100 ans. Cependant, une telle interprétation n’explique pas ce qui a provoqué le caractère complexe de l’empreinte de l’effet à l’épicentre de l’événement de Tunguska. La nature « solaire » de l’effet serait prouvée si elle avait été mise en évidence pour d’autres périodes semblable. Mais un tel travail, pour ce que nous en savons, reste encore à faire.

Ainsi, les résultats d’une recherche de la radioactivité dans la région de l’explosion de Tunguska nient une hypothèse nucléaire. Il est cependant à noter que rechercher des traces de retombées radioactives de radionucléide un demi-siècle après une explosion nucléaire dans l’atmosphère soit un défi, si l’on prend particulièrement en compte la contamination consécutive aux essais nucléaires atmosphériques récents.

Avec les tentatives pour détecter des radionucléides résiduels de l’événement 1908, quelques efforts ont été faits pour trouver leurs traces par des méthodes indirectes. En premier lieu, des variations des propriétés thermoluminescentes des minéraux dans le secteur de l’explosion ont été étudiées. Il est bien connu que les variations dans l’intensité de la thermoluminescence sont des indications fiables, même si elles sont indirectes, de l’exposition des minéraux à la radiation ionisante. Cette méthode a été employée avec succès pour déterminer le niveau de la radioactivité à l’épicentre de l’explosion nucléaire au-dessus d’Hiroshima quelques années après l’événement de Tunguska. Des travaux semblables ont été menés à bien dans le secteur de l’épicentre de l’explosion de Tunguska. Les résultats suggèrent que les caractéristiques principales des minéraux thermoluminescents dans cette région ont été faussées par deux facteurs en opposition. Le premier a réduit les propriétés thermoluminescentes des minéraux à proximité immédiate de l’épicentre. D’après la similitude entre le contour de cette zone et la zone de brûlure radiante des arbres, l’effet a été produit par le flash de lumière. Ceci semble plausible, puisque le recuit des minéraux mène à une diminution de leurs propriétés thermoluminescentes et même à la perte des propriétés. Mais il reste à savoir pourquoi cet effet s’est manifesté seulement dans le secteur du flash et pas dans la zone entière du feu de forêt.

Intervenant parallèlement au premier facteur, un deuxième facteur a intensifié la thermoluminescence des minéraux. Ce facteur était à son maximum dans un secteur ayant tendance à correspondre à la projection du flash.

 

VIII – Discussion.

Au début des années 60, il y eut une renaissance de l’hypothèse cométaire qui avait été proposée dans les années 30 par I.S.A. Stapovich et F. Whipple, et plus tard développée par V.G. Fesenkov. On a suggéré qu’à la différence de la version asteroïde, l’hypothèse cométaire pourrait expliquer d’une manière concluante les particularités principales de l’événement de Tunguska et les distinguer d’autres phénomènes d’impact, à savoir :

1. le caractère de l’explosion au-dessus du sol;

2. l’absence de cratère, ainsi que de toute trace des retombées radioactives à grande échelle de la matière de météorite;

3. anomalies optiques atmosphériques qui ont accompagné l’explosion de Tunguska.

L’hypothèse cométaire a eu des effets favorables sur le progrès des études du phénomène de Tunguska. Dans ce cadre là, il y a eu des tentatives pour calculer les paramètres principaux du CCT ; par exemple, sa trajectoire, ses masse, énergie, caractéristiques de force, la pente de sa trajectoire, tout aussi bien qu’une description du mécanisme de la destruction de l’objet. Plus tard, cependant, les résultats d’études plus poussées ont compliqué la situation, qui semble aujourd’hui être à un point critique. Quelques obstacles rencontrés en examinant l’hypothèse cométaire ont été présentés ci-dessus. Il devrait ajouter que les auteurs des modèles théoriques ont travaillé sur la base d’une faible densité de l’objet (de l’ordre de 5×10-2 g/cm 3, ou même très faible 5×10-3 g/cm 3). La recherche directe sur la comète de Halley a montré, cependant, que la vraie densité de la glace cométaire est environ 1 g le centimètre cube. En conséquence, les modèles du CCT comme « morceau super ample de neige cosmique » ou « une gigantesque boule de neige cosmique » devraient être rejetés.

Cependant, ces échecs n’ont pas affecté le noyau des défenseurs de l’hypothèse cométaire, puisque la plupart ont procédé à des évaluations à partir d’une densité de glace cométaire plus réalistes, égale à 1g/cm3. Mais les éléments récemment publiés ont apporté des doutes sur les principes fondamentaux mêmes de cette hypothèse. Nous voulons dire, tout d’abord, que les calculs détaillés, effectués par Z. Sekanina (1983) et qui arrivent à la conclusion que, en raison de la force caractéristique du noyau de comète, il aurait dû se désagréger à une altitude beaucoup plus élevée que celle qui est maintenant acceptée. Ensuite, les modèles mathématiques ont suggéré que les gigantesques chondrites carbonés colossaux doivent se désagréger à une altitude de 30 kilomètres. Un argument circonstanciel en faveur de cette déduction étant l’explosion du chondrite carboné de Revelstoke, aussi bien que les explosions de haute altitude des météoroïdes, confirmées par les méthodes aérospatiales.

Puisque la composition chimique de l’objet de Tunguska, dans ses modèles conventionnels dominants, est identique à celle d’un noyau de comète ou à un chondrite carboné, la vérification de ces données serait d’une importance cruciale pour le problème de Tunguska. Z.Sekanina (1983) et C. Chyba et al. (1993) sont arrivés à la conclusion que le CCT devrait être classifié comme un astéroïde pierreux.

Une météorite de fer aussi grande que ceci aurait atteint la surface de la terre et aurait formé un cratère. Un noyau de comète ou un chondrite carboné se serait désagrégé à une altitude beaucoup plus élevée que le corps cosmique de Tunguska. Mais si c’est le cas, alors la question de la substance de CCT réapparaît.
Un certain nombre de problèmes demeurent non résolus : anomalies isotopiques dans les couches des marais de sphaigne de1908, à l’épicentre et tout autant une plus grande concentration des éléments volatils et chalcophiles dans la sphaigne, pour ne citer que ces deux problèmes.

Un retour au modèle d’astéroïde pierreux exigerait une explication des anomalies optiques atmosphériques de 1908, qui pendant longtemps ont été attribuées à la pénétration de la queue « de comète de Tunguska » dans l’atmosphère.

Actuellement l’étude du problème a atteint une phase où il devient possible de formuler rigoureusement les principales questions qui, si on leur apporte une réponse, peut limiter l’éventail des modèles acceptables du CCT. Principalement, ce sont les questions étroitement liées suivantes :

1. L’explosion de Tunguska peut-elle être expliquée comme conséquence de la destruction des morceaux de la glace de la comète ou de la destruction d’une météorite de type chondrite carboné à une altitude de 2,5 à 9 kilomètres ? Sekanina et Chyba ont-ils raison de nier une telle possibilité ? Ou alors est-ce Bronshten, V.A., A. Boyarkina, p.a., (1975, 1976) Korobeynikov, V.P. et autres., (1983, 1984), Grigorian, S.S. (1976) et d’autres investigateurs qui ont raison en défendant l’hypothèse cométaire ? Si ceux-là ont raison, alors il devient impératif de mettre à jour un grand nombre de calculs traitant du mécanisme de destruction de l’objet de Tunguska qui ont été publiés depuis 1963. Il est également nécessaire de réexpliquer les anomalies isotopiques et élémentaires dans la région de l’épicentre, et de réinterpréter les anomalies optiques atmosphériques de l’été 1908.

2. Quelle est l’origine des anomalies isotopiques et élémentaires dans les couches de résine, dans le bois et la tourbe de 1908 ? Sont-elles dues à la précipitation de résidus du CCT ou de quelques autres processus ? Si en effet les décalages d’isotopes et l’augmentation des concentrations de volatil et d’éléments chalcophiles datés de 1908 dans ces objets naturels sont dus à un certain matériel du CCT, alors dans ce cas-ci on élimine le paradoxe de l’absence de la matière cosmique dans le secteur de l’explosion en comparaison de l’échelle du phénomène. Ainsi, il semble critique de faire des investigations de contrôle dans des zones non liées à l’événement de Tunguska.

3. Les anomalies optiques atmosphériques de 1908 peuvent-elles avoir été dues au transport de la matière du CCT depuis le site de l’explosion par les vents stratosphériques, les matériaux d’un astéroïde pierreux, en particulier ?

4. Quelle est la nature du segment Ouest-nord-ouest du « couloir » des déviations axialement symétriques des vecteurs de la forêt couchée par rapport à l’empreinte radiale dominante ? Et peut-elle être due à toute autre chose que la trace du ricochet de la partie du CCT qui a survécu à l’explosion, en termes de modèles traditionnels ?

5. Est-il possible de résoudre la contradiction entre la trajectoire de CCT comme définie avec évidence par les témoins oculaires d’Angara et la trajectoire du vol du corps comme suggéré par le modèle de vecteur de la chute de forêt ? Les solutions non ambiguës et complètes aux problèmes ci-dessus mèneront à un choix entre ces deux hypothèses opposées. Il est maintenant trop tôt pour en prévoir les résultats. Cependant, notre capacité actuelle à poser la question est une réussite significative dans l’histoire du développement du problème de Tunguska.

Remerciements
En conclusion, nous souhaitons remercier nos nombreux collègues en Russie et à l’étranger, particulièrement les scientifiques dans plus de 120 observatoires astronomiques et géophysiques, qui ont fourni des informations contenues dans les archives concernant la période 1907-1909.

 


 


Le Dr. Vladimir V. Rubtsov († en 2013), est né en 1948 à Kharkov, alors en URSS, maintenant en Ukraine. Il a reçu sa maîtrise en informatique en 1972 et a ensuite rejoint le laboratoire du Dr. Alexey Zolotov à Kalinine (maintenant Tver), où pendant trois ans il a étudié le problème de l’explosion de Tunguska. Il a reçu son Doctorat en Science de l’Académie des Sciences de l’URSS (Moscou, Russie) en ayant soutenu en 1980 sa thèse de Doctorat « Aspects philosophiques et méthodologiques du problème des civilisations extraterrestres » (une première de la sorte en ancienne URSS).

De retour à Kharkov, Vladimir a continué son travail sur le problème de Tunguska, collaborant étroitement avec ses collègues russes, en particulier avec le Professeur Vasilyev, le chef des études Tunguska dans l’ancienne URSS et Russie actuelle. Ces longues décennies d’enquêtes l’ont incité à réaliser la nécessité de développer un modèle objectif de l’événement de Tunguska qui serait établi sur les bases empiriques strictes. Le mystère de Tunguska est publié en raison de cette aspiration.

Le Dr. Rubtsov a écrit environ 150 articles scientifiques et de vulgarisation en République Soviétique, post-soviétique, et dans la presse étrangère, aussi bien que deux monographies scientifiques : Le problème des civilisations extraterrestres (maison d’édition de l’Académie des Sciences de Moldavie -1984 et 1987), co-écrites avec le Dr. Arkady Ursul et les ovnis et la Science moderne (1991), co-écrit avec Dr. Yuly Platov. En 1984, le problème des civilisations extraterrestres a été récompensé par l’Académie des Sciences de Moldavie. Les spécialités professionnelles de Vladimir sont la méthodologie dans les recherches interdisciplinaires, la sociologie de la science et de la technologie et l’épistémologie générale. Il est actuellement directeur de l’Institut de Recherche sur les Phénomènes Anormaux (RIAP) et rédacteur de son magazine, le RIAP bulletin.

Vladimir Rubtsov a fait des présentations dans plusieurs conférences internationales, dont celle du troisième colloque international de Bioastronomie a Val Cenis en France, en juin 1990. En outre, pendant plusieurs années il a activement participé aux rencontres annuelles de Tsiolkovsky dans la ville russe de Kaluga, où les principaux scientifiques et spécialistes des fusées de l’URSS ont discuté des problèmes de l’exploration de l’espace et de la recherche de l’intelligence extraterrestre. À la conférence du centenaire de Tunguska en 2008 à Krasnoyarsk en Russie, le Dr. Rubtsov a présenté sa « méthodologie des programmes de recherche scientifiques et le problème de la météorite de Tunguska ».

Le Dr. Vladimir Rubtsov était membre titulaire de l’Académie Russe de Cosmonautique, un membre associé de la Société pour l’Exploration Scientifique (USA), membre du groupe d’experts sur des phénomènes atmosphériques anormaux de l’Académie des Sciences Russe et membre du centre SETI de l’Académie des Sciences Russe.


Nikolay Vladimirovitch Vasilyev – auteur du document ci-dessus.

Nikolay Vladimirovitch Vasilyev († en 2001 ) est né le 16 Janvier 1930 à Nikita (Crimée). C’était est un scientifique soviétique dans le domaine de la médecine. Membre de l’Académie des sciences médicales de l’URSS.

Les parents Nikolai Vladimirovich étaient diplômés de l’Université d’Etat de Tomsk. V. F. Vasilev et LN Bereznegovskaya ont travaillé comme chercheurs dans le jardin botanique de Nikitsky. En 1932, Vasiliev a déménagé à Voronezh. En 1942, N. V. Vasilev et sa famille ont été évacués en Sibérie, d’abord dans la région de l’Altaï, puis à Tomsk.

En 1953, Nikolai Vasiliev est diplômé de l’Institut Médical de Tomsk (TMI) et travaille comme assistant, puis professeur agrégé de microbiologie.

En 1959, il a défendu sa thèse, et en 1968 un doctorat.

En 1970, il est devenu professeur au Département de Microbiologie du TMI de 1976-1986 et en avait la charge. Plus de 100 thèses de doctorat a été réalisées sous la direction N. V. Vasiliev.

En 1978, il a été élu membre correspondant de l’Académie des Sciences Médicales de l’URSS, en devint en 1980 membre à part entière de l’Académie des Sciences Médicales URSS.

Depuis 1979, Directeur adjoint de l’Institut Recherche sur le Cancer de l’Académie URSS des sciences médicales (Tomsk).

Dans le cadre des scientifiques de Tomsk il a travaillé plusieurs décennies sur l’étude du Corps Cosmique de Tunguska et conduit avec G. V. Andreevym en 1990, l’expédition annuelle d’été dans la taïga du territoire de Krasnoïarsk.

Depuis 1992, Nikolay Vladimirovitch a vécu à Kharkov, où de 1992à 2001, il a travaillé comme Directeur Adjoint des Sciences de l’Institut de Recherche en microbiologie de Kharkov.

 


Publications concernant le phénomène de Tunguska 1908

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Kulik, L. A. 1940Doklady Akad.28 (7, 597)
Kazantsev A. P.1946The ExplosionN° 1, p 39-46
Kazantsev, A. P. 1946Vokrug Sveta1, 39
La Paz L.1948The Energy of the Podkamennaya Tunguska Siberia Meteoritic FallVol 56, p 330-331
Fesenkov, V. G. 1949Meteoritika6, 8
Krinov, E. L. 1949The Tunguska Meteorite
Wilder J.1953Am. J. Psychother.12, 199
Lee, T. D., & Yang, C. N. 1956Phys. Rev.104, 254
Jung, C. G. 1959Flying Saucers: A Modern Myth of Things Seen in the Sky
Andreev K. K., Belyaev A. F. 1960Theory of Explosives.p 344
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Arrêt et redémarrage des moteurs à explosions en présence d’un ovni

L’étude des témoignages du phénomène ovni sur une période de quelques dizaines d’années permet de dégager des grandes lignes techniques, en particulier en ce qui concerne la sustentation-propulsion des ovnis dans notre atmosphère au voisinage du sol.


Arrêt et redémarrage des moteurs à explosions
en présence d’un ovni ©

par

Jacky Kozan
analyste technique des phénomènes aériens insolites

Ce texte est protégé par un copyright

Les témoins décrivent des ovnis, quelques mètres ou dizaines de mètres au-dessus d’eux. Ces ovnis émettent quelquefois une lumière blanche ou un faisceau de lumière blanche, tronqué. Pendant ces observations, les témoins font souvent état de l’arrêt de leur véhicule et de l’arrêt du moteur du véhicule, ainsi que certains troubles décrits comme d’ordre électrique. Ils mentionnent des élévations locales de température et quelquefois des brûlures.
Lorsque l’ovni s’éloigne, le moteur de la voiture se remet à tourner, qu’il soit à allumage électrique ou qu’il soit de type diesel. Le moteur diesel n’utilise pas d’électricité pour fonctionner.
Dans la littérature spécialisée sur le phénomène ovni, souvent la question est posée: comment expliquer un tel phénomène d’arrêt et de redémarrage du moteur ? Des explications ont été proposées concernant l’arrêt du véhicule lui-même, j’en propose une qui concerne les moteurs des véhicules.

 

Cadrons l’analyse du phénomène.

L’étude des témoignages du phénomène ovni sur une période de quelques dizaines d’années permet de dégager des grandes lignes techniques, en particulier en ce qui concerne la sustentation-propulsion des ovnis dans notre atmosphère au voisinage du sol. Des distances de quelques mètres à quelques dizaines de mètres au-dessus des témoins sont rapportées.

1. éléments techniques récoltés

En analysant les témoignages d’observation, on retrouve des descriptions de phénomènes incompréhensibles avec nos connaissances physiques officielles actuelles:

a- des engins gros comme des ballons, des automobiles, des autobus ou des immeubles de huit étages passent en vol silencieux à basse altitude ou font ce que l’on appelle un vol stationnaire. C’est-à-dire qu’ils restent immobiles quelques mètres ou dizaines de mètres au-dessus des témoins.

b – accompagnant ces descriptions, les témoins rapportent des lumières souvent blanches, émettant quelquefois des faisceaux de lumière tronqués, dont la base s’arrête net, de façon bien délimitée. Des analyses effectuées sur les agrandissements photographiques de lumières blanches mettent en évidence des structures en forme de nid d’abeille. Des témoignages relatent des mouvements en spirale près de ces lumières blanches, d’autres décrivent des boules qui se mettent à tourner en spirale avant de « plonger » vers le ciel.

c – des engins gros comme des automobiles descendent du ciel en tombant comme une feuille morte.

d – en quittant les lieux de l’observation, l’engin s’élève, d’abord lentement, transforme son apparence, puis repart à très grande vitesse dans l’atmosphère, quelquefois faisant un virage à angle droit en pleine vitesse.

2. distinction entre deux systèmes

Ces témoignages relatent:

– d’une part la possibilité de sustentation des ovnis, même très gros, à proximité du sol, sans faire de bruit significatif, sans élévation importante de la température comme pourrait le faire un réacteur d’avion en fonctionnement, sans émission de gaz, sans déplacement sensible de la masse d’air environnante.
– d’autre part la possibilité de partir du lieu de l’observation avec une très forte accélération, largement au-delà de ce qui est supportable pour un vaisseau, un passager ou des équipements.

3. liaison avec les événements au sol

Au cours de ces survols par des ovnis, les témoins relatent:

– des mouvements de végétation, de matériaux, de véhicules, qui semblent être aspirés au passage de l’ovni puis retombent sur le sol quand l’ovni s’éloigne,
– des phénomènes de chaleur, élévation locale de la température, allant quelquefois jusqu’ à la brûlure,
– des phénomènes qualifiés d’électriques car ils concernent la radio et les lampes du véhicule,
– la difficulté voire l’impossibilité pour eux de sortir du véhicule ou de se déplacer.

 

Deux explications à deux performances hors de notre portée

De l’analyse de ces éléments récoltés dans les témoignages, les analyses techniques du phénomène ovni convergent vers deux explications techniques, l’une concernant la propulsion de l’ovni, l’autre concernant son aptitude au vol stationnaire. Il est bien évident que notre savoir faire technologique actuel, ne nous donne pas la possibilité de mettre en œuvre ces techniques, mais que notre connaissance théorique ou expérimentale partielle, nous permet de les comprendre et de les envisager.

Pour la propulsion, l’hypothèse d’un système électro-magnétique est généralement pris en considération, compte tenu des effets constatés par les témoins au niveau des lumières des ovnis, au niveau des caractéristiques de leur déplacement à proximité du sol (trajectoires en chute de feuilles mortes ou déplacement horizontal sautillant). Des détails tels que les structures en nid d’abeille et les éjections de particules ionisées en tourniquet ou en spirales viennent renforcer cette hypothèse.

Pour la sustentation (ou le vol stationnaire), un système basé sur l’antigravitation est en général proposé.

Pour continuer à développer mon explication de l’arrêt et redémarrage des moteurs à explosions en présence d’un ovni, je dois préciser maintenant que je retiens l’hypothèse d’un système de propulsion électromagnétique agissant lorsqu’en même temps, un autre système de sustentation est actif.
Par contre je rejette l’antigravitation comme explication du vol stationnaire, de l’aspiration des corps se trouvant sous l’ovni, du départ de l’ovni à grande vitesse et avec de fortes accélérations. Je propose une explication basée sur l’annulation totale de la masse de l’ovni et de tout ce qui est inclus dans l’ovni.

Pourquoi rejeter une éventuelle technique d’antigravitation.
Maîtriser la gravitation ne résout pas la résistance des vaisseaux, des équipements et des passagers à de fortes accélérations. Or les témoignages relatent ces vitesses et accélérations largement au-delà de ce que pourrait supporter un organisme vivant ou du matériel. Des vitesses d’au moins 8 000 kilomètres heures ont été mesurées, sur des engins effectuant des virages à angle droit, sans « bang » de franchissement du mur du son.
Des accélérations d’au moins 80g (g est égal à 9,81mètres/seconde/seconde et c’est la mesure de l’accélération de notre pesanteur terrestre). Un organisme humain est très éprouvé à 5g d’accélération (une voiture de sport qui passe de 0 km/h à 100 km/h en 4 secondes, accélère à 0,7 g).
Un pilote de Mirage moderne peut envisager de résister à 8g. Au-delà l’organisme est détruit. A 40g les équipements commencent à casser. Pas question de supporter 80g, ni pour un organisme (humain ou humanoïde), ni pour des équipements tels que nous les construisons en ce moment.

 

L’annulation de la masse explique ces performances.

Remarque préalable: Je viens de mentionner le mot "annulation" attribué à la "masse". Bien évidemment, je n'ai aucune explication de la façon dont cela peut être réalisé et je n'ai pas l'intention de travailler sur le sujet. J'attire ici l'attention des lecteurs sur les éléments suivants:
 - un système d'antigravitation n'expliquerait que les vols stationnaires, mais pas la résistance nécessaire aux fortes accélération, que ce soit pour les organismes vivants ou le matériel,
 - les physiciens disent: "la masse c'est la matière elle-même, on ne peut pas intervenir dessus",
 - comme en remontant dans le temps, les physiciens ont dit qu'on ne pouvait pas casser une molécule, ensuite on ne pouvait pas casser un atome, ensuite un proton maintenant ils cassent des quarks et des leptons et trouvent des "particules élémentaires" et des interactions dont une dite "gravitationnelle".
 Alors pourquoi affirmer aujourd'hui, qu'on ne peut intervenir sur ces interactions entre particules (gravitationnelle, électromagnétique, nucléaire faible et nucléaire forte) alors qu'on a appris à intervenir sur les atomes, puis sur les électrons et protons.
 Dans mon raisonnement je considère que la physique actuelle n'a pas encore fini d'évoluer et que prochainement (100 à 1 000 ans) nous saurons intervenir sur ces interactions et donc sur la masse d'un corps. De toute façon nous avons les preuves, au sens juridique du terme, que certains inconnus savent déjà faire. Pourquoi pas nous ?

Pour encaisser des accélérations de 80g ou plus, pour prendre un virage à angle droit à une vitesse de quelques milliers de kilomètres par heure, il y a une explication simple: la masse du vaisseau, de ses équipements et de ses passagers est annulée. Pas réduite, ni minimisée…annulée. En effet lorsque la vitesse du vaisseau approcherait la vitesse de la lumière, quelle que soit la valeur de sa masse, aussi infime soit-elle, son énergie tendrait vers l’infini.

Or pour accélérer à 80g, on vient de voir que les organismes et les équipements ne le supporteraient pas. Pourtant les témoignages d’observations sont là, c’est donc que les vaisseaux et leurs contenus ne sont pas soumis à l’inertie résultant de l’accélération, qu’elle soit linéaire ou circulaire dans le cas d’un virage très serré.

Raisonner dans le domaine de l’antigravité n’est pas la bonne voie, puisqu’à la lecture des témoignages des performances des ovnis concernant leur maîtrise de la liaison masse/gravitation, il me semble évident que les passagers des ovnis savent contrôler la masse d’un corps, probablement jusqu’à la réduire à zéro. Cette hypothèse n’est pas acceptable par la physique enseignée, car la majorité des physiciens considèrent que la masse augmente avec la vitesse et tend vers l’infini lorsque l’on s’approche de la vitesse lumière.
Mais cette affirmation est fausse. La formule qui est en cause est celle-ci :

Si dans cette formule on donne une valeur plus grande que zéro au paramètre « m0 », je suis d’accord: plus la vitesse (le paramètre « v ») augmente et plus « m » augmente et quand « v » atteint « c » (vitesse de la lumière) alors « m » est infini.

Mais, « m0 » étant la masse, si on lui applique une vitesse, le résultat c’est une mesure d’énergie. Et « m » ne devrait pas s’appeler « m » mais « E ». Comme dans E=Mc2.
Certains qualifient « m0 » de « masse au repos » et « m » de « masse inertielle ». (Pourquoi pas tout simplement énergie ?) Donc ce n’est pas la masse qui augmente avec la vitesse mais l’énergie. L’inertie de la masse.

Maintenant, si on applique la valeur zéro à la masse (paramètre « m0 ») alors même lorsque « v2 » atteint « c2 », le résultat appelé « m » dans la formule reste à zéro. En conséquence une masse rendu nulle par un procédé physique (électromagnétisme et hyperfréquences) resterait nulle quelle que soit sa vitesse, même aux environs de la vitesse lumière. Une masse rendu nulle, pourvu qu’elle soit appliquée à l’ensemble du vaisseau, jusqu’à la plus petite particule à l’extérieur du vaisseau rend possible les fortes accélérations et les déplacements à des vitesses égales ou supérieures à celles de la lumière.

Selon l’état actuel de la physique enseignée, aujourd’hui il est considéré comme absolument impossible d’intervenir sur la masse d’un corps. On ne peut ni la réduire, ni l’augmenter. Pourtant autrefois les alchimistes ne savaient utiliser que les corps simples et les corps composés, ensuite on a découvert les atomes, on a su combiner les électrons et faire de la chimie puis de l’électronique. On connaît les leptons et les quarks et les différentes interactions entre les particules. Attendons donc d’en savoir davantage sur leurs caractéristiques avant d’affirmer qu’il n’est pas possible d’intervenir sur la valeur de la masse d’une particule.
Je propose donc cette hypothèse basée sur l’annulation totale de la masse pour proposer une explication, non seulement aux accélérations relatées par les témoignages mais aussi une explication à l’arrêt et au redémarrage des moteurs à explosions en présence d’un ovni.

 

Retour sur les moteurs à explosion.

Voici à quoi ressemble un moteur classique d’automobile:

Rappel de son fonctionnement

Une combustion interne dans lequel l’énergie calorifique, provenant de l’inflammation d’un mélange air-essence, est transformée en énergie mécanique.

Premier temps : admission – La soupape d’admission s’ouvre, le piston descend dans le cylindre, le mélange d’essence et d’air pénètre.

Deuxième temps : compression – La soupape se referme, le piston remonte et comprime le mélange d’air et d’essence emprisonné dans la chambre de combustion. Ce dernier monte en pression et en température. Il devient alors très inflammable.

Troisième temps : explosion – Elle a lieu juste après la compression et est déclenchée par l’étincelle de la bougie. La température peut atteindre 3000° ; la pression s’élève encore et les gaz dilatés repoussent le piston vers le bas ce qui entraîne la rotation du vilebrequin par l’intermédiaire du jeu de bielle.

Quatrième temps : échappement – Le piston remonte, la soupape d’échappement s’ouvre et les gaz brûlés sont évacués.

Pendant ces quatre temps, au niveau de chaque cylindre, le mouvement de translation du piston dans la chemise est transformé en mouvement de rotation du vilebrequin grâce au jeu de bielle.

Quand le moteur fonctionne il produit donc une énergie mécanique. Dans le cas des véhicules automobiles, c’est pour les faire avancer.

Que se passe-t-il en présence d’un ovni ?
Le fonctionnement étant expliqué, il faut maintenant en extraire les éléments importants à retenir pour avoir une bonne compréhension de ce qui se passe en présence d’un ovni.
Le moteur tourne parce qu’une étincelle à généré une forte pression des particules de carburant sur une pièce mécanique et que celle-ci s’est déplacée sous cette pression, produisant en fin de compte à la sortie du moteur un mouvement de rotation qui est exploité pour faire avancer le véhicule.

Quatre éléments sont essentiels:
– l’électricité qui va produire l’étincelle responsable de la violente augmentation de pression,
– la pression des gaz à l’origine de la rotation du moteur,
– l’inertie de l’ensemble de la mécanique en mouvement,
– les frottements mécaniques qui existent par construction et qui sont les premières forces que le moteur doit vaincre.

L’électricité – Rôle et impact
Elle va servir à produire l’étincelle dans chaque piston, l’un après l’autre, uniquement au moment où celui-ci aura déjà bien comprimé les particules de carburant situées au-dessus de lui. Ces particules vont exploser, faire élever la température et augmenter violemment la pression au-dessus du piston qui repartira énergiquement vers le bas. L’électricité n’intervient donc que très ponctuellement au cours d’une séquence de création d’énergie dans le moteur.

La pression des gaz – Explication des forces
Un gaz est constitué de molécules accompagnées d’un mouvement libre. Quand un gaz est enfermé, il vient pousser les parois. Les molécules étant accompagnées d’un mouvement libre, elles vont heurter la paroi et ainsi exercer une force. C’est la masse des particules qui est la source de la pression exercée sur le piston. Dans un premier temps le piston qui remonte, sous l’effet des explosions des autres pistons du moteur, va comprimer les particules et générer une première pression au-dessus du piston. L’étincelle va ensuite provoquer une combustion rapide de ces particules et la température en haut du piston va monter vers 3 000 °C. Les nouvelles particules vont alors s’agiter et augmenter la pression exercée sur le piston, qui va repartir vers le bas. On a toujours la masse des particules de carburant comme acteur responsable de la pression exercée sur le piston.

Le moment d’inertie d’une masse tournante
C’est le résultat de la valeur de la masse du corps en rotation appliquée à une certaine distance du centre de rotation. La formule qui le détermine est : I = (M*R2) / 2
Elle est présentée dans le schéma ci-dessous:

Les frottements mécaniques dans le moteur
Ils sont présents dans les cylindres, au niveau des interfaces entre les pistons et leurs logements, au niveau des articulations entre les pistons et les bielles, entre les bielles et le vilebrequin, au niveau des paliers du vilebrequin et un peu partout au niveau de tous les accessoires en mouvement (culbuteurs, soupapes, pompes, etc…).
Le résultat de l’existence de ces frottements est une force mécanique que le moteur doit vaincre pour commencer à se mettre en rotation.

 

Interaction des systèmes de sustentation-propulsion des ovnis avec ces paramètres.

En première partie de ce texte, j’ai mis en évidence un système de sustentation-propulsion à la fois de type électro-magnétique et basé sur l’annulation totale de la masse de l’ovni et de tout ce qui est inclus dans l’ovni.

Lorsqu’un ovni arrive à proximité d’un moteur à explosion et qu’un tel système est actif :
– le champ magnétique produit par le système électro-magnétique de l’ovni va perturber le fonctionnement électrique du moteur et va générer des courants électriques dans la mécanique en rotation. Plus le moteur tournera vite, plus les courants générés seront forts.
– en même temps le système électro-magnétique va annuler toutes les masses présentes dans le champ d’action de l’ovni. Il va annuler les masses des pièces mécaniques et les masses des particules de gaz dans les chambres de combustion en haut des pistons.

Les pièces mécaniques n’ont plus aucune inertie. Les particules de gaz n’ayant plus de masse n’exercent plus aucune pression sur les pistons.
Par contre le champ magnétique environnant génère des courants électriques dans tout le bloc moteur. Les pièces du moteur en mouvement vont être freinées, plus le moteur tournera vite au moment de l’activation du champ magnétique, plus il sera freiné.

Nous avons une perte totale de la masse et donc de l’inertie des pièces en mouvement dans le moteur. En même temps nous avons la création d’une force de freinage. Le moteur, n’ayant plus ni d’inertie ni de pression interne, se bloque en raison des forts courants électriques générés dans le bloc moteur. Même en cas de production d’étincelle, la masse des particules étant nulle, celles-ci n’exerceront aucune pression sur le piston.

 

Départ de l’ovni.

Le champ magnétique généré par l’ovni n’existe plus, le moteur n’est plus perturbé dans sa rotation. Le système d’annulation de masse n’agit plus, le moteur retrouve sa masse et son inertie et les pistons subissent les contraintes de pression des particules de carburant. Il suffit que la valeur de l’énergie créée par cette pression soit plus forte que les énergies de frottement à vaincre pour mettre le moteur en rotation. Cette énergie minimum subsiste dans au moins un des quatre pistons.
Et le cycle moteur reprend normalement, sans même besoin d’une étincelle pour le relancer.

A retenir que je suis parti du contenu des témoignages pour en déduire que les ovnis savent annuler la masse des particules et que je me suis ensuite servi de cette propriété pour expliquer l’arrêt et le redémarrage des moteurs à explosion en présence des ovnis. Le constat de ces arrêts et redémarrages des moteurs vient donc renforcer l’explication des phénomènes constatés en prenant comme base l’annulation de la masse des particules. Ce qui est plus facile à appréhender que, par exemple, »un univers à six dimensions qui se replie sur lui-même sous l’action des masses ».

Fait à Romette, le 9 mars 2006 par Jacky Kozan

Ce texte est protégé par un copyright au nom de Jacky Kozan

Morts inexpliquées de bétail et émergence, en Amérique du Nord, d’une épidémie d’Encéphalopathie Spongiforme Transmissible (E.S.T.)

traduction partielle mais fidèle effectuée par Jacky Kozan,
terminée le 07 février 2006, mise à jour le 6 août 2017.

Unexplained Cattle Deaths and the Emergence of a
Transmissible Spongiform Encephalopathy (TSE) Epidemic
in North America

édité par le

National Institute for Discovery Science
4975 South Polaris Ave.
Las Vegas, NV 89118
nids@anv.net

Document source original

Résumé

Ce rapport met en évidence la corrélation entre les morts inexpliquées de bétail et l’émergence, en Amérique du Nord, d’une épidémie d’Encéphalopathie Spongiforme Transmissible (E.S.T.).

– il montre que des instruments tranchants sont utilisés lors des mutilations des animaux, contredisant les rapports qui affirment que des prédateurs et des charognards peuvent être à l’origine de ces mutilations,

– il montre que certains organes sont préférés lors des prélèvements,

– il attire l’attention sur les recoupements temporels et géographiques entre les mutilations d’animaux et les épidémies d’ E.S.T. au Nord Est de l’état du Colorado à la fin des années 60,

– il met en évidence que les cas de mutilation d’animaux correspondent aux méthodes classiques de prélèvements d’échantillons sur les bêtes sauvages lors de maladies infectieuses,

– il met en évidence une épidémie due aux prions dans le bétail ainsi que chez les chevreuils et élans en Amérique du Nord,

– il met en évidence que chez les humains un certain nombre de maladies à prions sont faussement diagnostiquées « maladie d’Alzheimer » échappant ainsi à toute mise en évidence,

– les archives montrent que des souches hautement infectieuses d’ E.S.T. furent importées de Nouvelle Guinée par des centres de recherches du Maryland après 1958 et furent utilisées pour des expériences de franchissement de barrières d’espèces,

– il formule l’hypothèse que les mutilations d’animaux sont à la fois des opérations de prélèvement d’échantillons sur les animaux domestiques, dans le cadre des maladies d’ E.S.T., et un avertissement « graphique » que la chaîne alimentaire du bœuf et du gibier est compromise.

Il est évident que des inconnus conscients que la chaîne alimentaire du bœuf et du gibier est compromise, font une opération à long terme, cachée, de prises d’échantillons sur le bétail, dans le cadre d’une surveillance des maladies à prions. Il n’y a pas suffisamment d’évidences pour identifier ces inconnus.

 

Introduction

Les cas de mort de bétail mutilé sont caractérisés par des prélèvements d’organes sur les animaux domestiques et sauvages, effectués par des inconnus. Les témoignages de vétérinaires, policiers et inspecteurs spécialistes du bétail, font clairement la distinction entre les mutilations d’animaux et les morts d’animaux domestiques et sauvages comme conséquence d’une maladie infectieuse, d’une prédation ou autres causes naturelles. Les cas de mutilations d’animaux sont apparus dans les media à la fin des années 60 et se sont multipliés au cours des années 70.

Les deux questions principales et sans réponses qui ont motivé la recherche sur ce phénomène sont :
Qui ? et Pourquoi ?

Ce rapport traite la deuxième question ainsi que le lien entre les vagues de mutilations animales de 1970/1980 et l’émergence d’une épidémie infectieuse en Amérique du Nord, pendant et après cette période.

Ce rapport n’a pas pour objectif de poser la question : « Qui tue et mutile les animaux? ».

 

<10 pages de texte n’apparaissent pas ici, voir le document original complet>

 

Conclusions, hypothèses et prévisions

La conclusion majeur du présent document est que l’épidémie de mutilations animales qui a eu lieu entre 1970 et 2003 a été et est toujours une opération de surveillance d’un agent infectieux qui se répand dans la chaîne alimentaire humaine (bétail, moutons, chevreuils sauvages et d’élevage).
L’agent infectieux, à la différence des virus et bactéries connus est quasiment indestructible et les symptômes chez les personnes sont très difficiles à diagnostiquer avant le décès.

Dans cette hypothèse, les opérations de mutilations animales sont perpétrées par un groupe bien informé ayant connaissance de la biochimie et du potentiel infectieux des maladies à prions et de leur propagation.

 

Mesure de la difficulté d’acquérir ces connaissances:

– début 1958 le Dr Carleton Gajdusek commence par envoyer au laboratoire du NIH (Institut National de la Santé) à Bethesda et Fort Detrick ,des cerveaux atteints de la maladie du Kuru et prélevés dans les tribus sauvages de Nouvelle Guinée.

– à partir de ce moment, ces maladies neurodégénératives sont apparues aux Etats-Unis, sans publications marquantes, du début des années 50 au du début des années 60.

– maintenant seulement, en raison de l’intense recherche sur les maladies à prions effectuée depuis une vingtaine d’années, il est devenu évident que la multiplication des prions se produit plus particulièrement dans l’œil, la langue, l’anus et le gros intestin et les organes reproducteurs.

– si ces tissus spécifiques sont prélevés lors des mutilations animales, avec comme objectif une surveillance de l’évolution des maladies à prions, ceci sous-entend pour les auteurs de ces mutilations animales une grande connaissance de la physiologie, de la biochimie et du potentiel infectieux des prions et implique la connaissance de résultats récemment publiés.

L’identité de ces mutilateurs reste inconnue, mais en plus d’une connaissance des résultats de recherches sur le potentiel infectieux des prions, autre un élément des mutilations animales a été le haut niveau de technologie, l’habileté et la discrétion des interventions chirurgicales. Les milieux judiciaires spécialisés, rappellent périodiquement que pendant 30 ans, pas une personne n’a été arrêtée ou mise en cause pour avoir perpétré des mutilations animales.

 

Pourquoi laisser le corps mutilé ?

Cette question a tourmenté les enquêteurs depuis les premières publications détaillées sur les mutilations, au début des années 70. Comme le reconnaîtra chaque lecteur familier des thèmes relatifs aux mutilations animales, une surabondance d’hypothèses ont été avancées concernant les mutilateurs et leurs motivations. L’hypothèse la plus souvent prise en considération est celle d’opérations gouvernementales pour contrôler les conséquences d’essais d’armes de guerre biologique ou étant sources de radiations. Mais dans ce cas, il n’y a pas de réponse adéquate à la question « Pourquoi avoir laissé le corps ? ». Le gouvernement pouvait à son aise tester ses propres troupeaux ou obtenir des carcasses d’abattoirs s’il souhaitait cacher des contrôles. Pour cette raison et quelques autres, il est évident que le gouvernement ne peut pas être mis en cause comme auteur des mutilations animales.

Vallée et Smith ont suggéré l’intrigante hypothèse que le fait de laisser les carcasses de vaches sur le sol constitue un message délibéré. Comme ces deux auteurs, nous suggérons que les implicites lacunes de dissimulation des carcasses de la part des auteurs des mutilations animales, sont une énergique mise en garde qui nous est adressée. Nous suggérons que l’attention a été délibérément portée sur les mutilations animales. Nous avons été mis en garde sur le fait que la chaîne alimentaire humaine est compromise, probablement en raison d’une infection par un agent de la famille des prions, qui est la plupart du temps, non détecté.

Comme nous l’avons présenté, les déchirantes conséquences de la dispersion de ces agents infectieux responsables des Encéphalopathie Spongiforme Transmissible peuvent être présentes dans les épidémies de maladie d’Alzheimer qui ravagent le système de santé des Etats-Unis (4 millions de malades actuellement). Il faut prendre en compte aussi les mystérieuses maladies d’Alzheimer précoces, qui touchent 200 000 Américains. Nous avons aussi présenté que, de toute évidence, des milliers de cas de maladie de Creutzfeldt-Jakob ont pu être faussement diagnostiqués comme cas de maladie d’Alzheimer et donc cette épidémie de maladie de Creutzfeldt-Jakob est discrètement présente aux Etats-Unis, à l’insu du public. Nous formulons l’hypothèse que les mutilateurs d’animaux connaissent et ont eu connaissance des dommages potentiels que peuvent occasionner aux humains ces agents infectieux dans la chaîne alimentaire humaine. En conséquence nous formulons l’hypothèse que les mutilations animales sont à la fois des opérations d’échantillonnage ET une mise en garde.

 

Plusieurs prévisions se dessinent à partir de cette hypothèse:

– une épidémie importante de maladie de Creutzfeldt-Jakob/Encéphalopathie Spongiforme Transmissible apparaîtra dans les environs de « Great Falls Montana » dans les prochaines années,

– de semblables épidémies apparaîtront en Argentine et dans le Nord du Nouveau Mexique,

– dans les deux ans qui viennent, aux USA, le lien sera fait, sans ambiguïté, entre les Encéphalopathies Spongiformes Transmissibles des animaux sauvages et les cas sporadiques de maladie de Creutzfeldt-Jakob chez les humains,

– bien que la Californie ait mis un embargo sur l’importation de chevreuils d’autres Etats, l’intense vague de mutilations dans et aux alentours d’un ranch en Californie du Nord (30 animaux mutilés en 5 ans), laisse présager une épidémie chronique d’Encéphalopathie Spongiforme Transmissible des animaux sauvages dans les 5 à 10 ans à venir,

– dans les années à venir, une méthode permettant de différencier maladie de Creutzfeldt-Jakob de la maladie d’Alzheimer, sera mise en application aux USA, faisant apparaître un accroissement considérable des cas de maladie de Creutzfeldt-Jakob.

 

Remerciements
Les auteurs de ce rapport remercient les Conseillers Scientifiques du NIDS (National Institute for Discovery Science) pour la mise à jour des versions antérieures de ce document, ainsi que les autres membres du personnel qui ont contribué à sa rédaction, en apportant leurs expertises. Ceux qui sont concernés se reconnaîtront. Le NIDS remercie Fern Belzil pour la fourniture de documents non publiés sur les mutilations animales.

 

Références
Voir la liste de 65 documents de référence sur le document original en Anglais.
Ce document se trouve à cette adresse:

http://www.nidsci.org/unexplained-cattle-deaths-emergence-tse-epidemic-north-america/

Document complet en .pdf

Document source original

Défis techniques que nous devons relever

Compréhension des ovnis

Défis techniques que nous devons relever

Résultat d’analyses de témoignages d’observations

14 octobre 2005

Éléments techniques importants récoltés par les témoignages d’observations
Quelques données pour situer le problème
Origine de nos visiteurs
Les champs magnétiques terrestres et solaires
Vitesse-accélération
Problèmes posés par la vitesse
Résistance à l’accélération
Énergie, masse, inertie
Antigravitation
Confrontation avec les molécules de l’atmosphère
Des pistes pour la recherche
Analyses techniques futures pour les ufologues

 

Éléments techniques importants récoltés en analysant les témoignages d’observation:

– des engins gros comme des ballons, des automobiles, des autobus ou grand comme un stade de football passent en vol silencieux à basse altitude ou font ce que l’on appelle un vol stationnaire. C’est-à-dire qu’ils restent immobiles quelques mètres ou dizaines de mètres au-dessus des témoins.

– des engins gros comme des automobiles descendent du ciel en tombant comme une feuille morte,

– des êtres humanoïdes descendent de l’engin, portés par un faisceau lumineux,

– certains d’entre eux se déplacent quelques dizaines de centimètres au-dessus du sol, en général équipés de combinaisons de type plongée ou scaphandre,

– en quittant les lieux de l’observation, l’engin s’élève, d’abord lentement, transforme son apparence, puis repart à très grande vitesse dans l’atmosphère, quelquefois faisant un virage à angle droit en pleine vitesse

 

Quelques données pour situer le problème

L’étoile la plus proche de nous, alpha du centaure, est à 4,2 années lumières, c’est-à-dire à 39 000 milliards de kilomètres. La vitesse de la lumière étant de 300 000 kilomètre par seconde.
Notre galaxie comprend 100 à 200 milliards d’étoiles, son diamètre est de 100 000 années lumières. Les galaxies sont innombrables dans l’univers.

On comprend vite que pour atteindre l’étoile la plus proche en se déplaçant à la vitesse de 100 000 kilomètres à l’heure, c’est-à-dire environ cinq fois plus vite que la Navette en orbite, il faut plus de 45 000 ans pour atteindre l’étoile la plus proche. Comme notre soleil est situé à 10 000 années lumière du centre de notre galaxie, on perçoit la difficulté d’un déplacement parmi les étoiles de notre « voie lactée ».

A partir de notre savoir faire actuel, de nos connaissances en physique et de leurs progrès futurs, on comprend qu’un voyage, même vers l’étoile la plus proche de nous prendrait plusieurs milliers de générations. C’est inconcevable.

Pourtant, les témoignages font apparaître plusieurs types de visiteurs humanoïdes, vraisemblablement d’origines différentes, de planètes tournant autour d’étoiles différentes.
Ont-ils voyagé pendant plusieurs milliers de générations ? Sont-ils arrivés près de nous, dans le système solaire, depuis très longtemps dans des vaisseaux interstellaires gros comme une planète ?

Essayons de concevoir la réserve de carburant de tels vaisseaux, la réserve d’alimentation pour les passagers pour de tels voyages…on ne peut pas.

 

Origine de nos visiteurs

Compte tenu des distances à franchir et de la durée des voyages, il est fort improbable que des visiteurs viennent nous observer pendant seulement quelques minutes après avoir voyagé quelques milliers d’années.

Autres possibilités:
– ils ont voyagé quelques milliers d’années dans un vaisseau interstellaire capable de transporter des générations successives avec leur nourriture et leur carburant et sont maintenant à proximité de la terre (Lune, Mars, anneaux de Saturne). A noter que quelques milliers d’années de voyage c’est petit par rapport à l’âge de la terre qui est de 4,6 milliards d’années.
– ils ont découvert des techniques de voyages interstellaires en adéquation avec la durée d’une vie humaine. Ce qui veut dire qu’ils savent se déplacer beaucoup plus vite que la lumière, ce qui, pour nous, aujourd’hui, est impossible
– ou ils savent intervenir sur l’espace et le temps d’une manière qui est jusqu’à présent inconnue de nous.

Puisque je parle des défis techniques à relever, je ne prends pas en compte l’hypothèse qu’ils viennent d’un endroit proche, sans jamais être allé plus loin que les planètes du système solaire proches de la Terre, ni l’hypothèse que leur origine pourrait être terrestre et uniquement terrestre.

 

Les champs magnétiques terrestres et solaires

Comme il nous paraît impossible de transporter une réserve d’énergie pour se déplacer pendant des milliers de milliards de kilomètres, nous devons examiner la possibilité d’utilisation d’une énergie disponible un peu partout dans l’espace. Les champs magnétiques des étoiles et planètes pourraient être cette source d’énergie.
Un déplacement de vaisseau sur la base d’un système de gestion des champs magnétiques stellaires et planétaires résoudrait le problème de la réserve d’énergie embarquée. Pour comparer, les bûcherons Canadiens qui déplacent des milliers de tonnes de bois sur le cours des rivières n’utilisent qu’un outil simple, genre barre à mine, pour placer correctement les troncs entre eux et les faire évoluer en fonction des courants et de la zone géographique où
ils passent.

Un vaisseau possédant un tel savoir faire appliqué aux forces du champ magnétique terrestre par exemple, pourrait se déplacer dans notre atmosphère en n’utilisant qu’une petite consommation d’énergie pour gérer ces forces.
Beaucoup de témoignages font état d’effets secondaires résultant d’une utilisation de champs électromagnétiques au moment du passage de vaisseaux ou lors de contacts rapprochés. Certains comportements en vol sont attribués au résultat d’utilisation d’une source d’énergie électromagnétique.

 

Vitesse-accélération

Des vitesses d’au moins 8 000 kilomètres heures ont été mesurées, sur des engins effectuant des virages à angle droit, sans « bang » de franchissement du mur du son.
Des accélérations d’au moins 80g (g est égal à 9,81mètres/seconde/seconde et est la mesure de l’accélération de notre pesanteur terrestre).
Un organisme humain est très éprouvé à 5g d’accélération (une voiture de sport qui passe de 0 km/h à 100 km/h en 4 secondes, accélère à 0,7 g).
Un pilote de Mirage moderne peut envisager de résister à 8g. Au-delà l’organisme est détruit. A 40g les équipements commencent à casser.
Pas question de supporter 80g, ni pour un organisme (humain ou humanoïde), ni pour des équipements tels que nous les construisons en ce moment.

 

Problèmes posés par la vitesse

La vitesse seule n’est pas un problème pour l’organisme et le matériel. Les difficultés se dessinent dans la « cartographie », la recherche de sa position dans l’espace à un moment donné. Les points de repère ne pourraient être choisis que très loin, avec les difficultés de repérage que l’on peut essayer d’imaginer en faisant plus de 300 000 km par seconde ! Ce qui, je le rappelle est considéré aujourd’hui comme impossible.
A cette vitesse ou au-delà, les astéroïdes, comètes et autres corps présents dans l’espace et impossible à détecter en raison de leur petite taille, constituerait un mur partout autour du vaisseau.

 

Résistance à l’accélération

Ce qui est dangereux pour l’organisme et le matériel, c’est l’accélération.

Un système de propulsion quel qu’il soit, ionique, réacteur ou hélice produit une force, une action qui déclenche une réaction de l’environnement. La réaction se traduit par une force appliquée sur la mécanique du propulseur (châssis, ailettes, axes, boîtiers divers, composants électroniques, etc…). Le propulseur transmet la force, en cascade, à toutes les pièces qui lui sont attachées, c’est à dire à tout le reste du véhicule, à chacune des pièces du véhicule et de son contenu. C’est à dire au châssis, à la carrosserie, aux fils électriques, aux composants électroniques, à l’eau dans la réserve, aux steaks dans le frigo, aux occupants du véhicule. La force que l’organisme du passager encaisse est reçue par les os qui vont entraîner plus ou moins brutalement les muscles, les organes vitaux plus ou moins fragiles.

Les ovnis ne subissent pas ces contraintes de transmission en chaîne de la force qui est à l’origine de la propulsion. Sinon, vu les accélérations mesurées 80g ou plus, non seulement les êtres vivants seraient écrasés, mais même le matériel serait détruit dans le véhicule. En aéronautique ont fait des essais avec un maximum de 40g sur les équipements. A 40g on considère que c’est normal qu’ils commencent à casser.

Le fait d’envelopper le corps des personnes dans un matériaux spécial encaissant les efforts et les répartissant judicieusement sur le corps ne résout pas le problème d’encaissement de la force par le corps humain, à ces accélérations là.  Un tel système permettra aux pilotes d’avion de chasse résistant à 8g de pouvoir supporter 10g en raison d’une meilleure répartition de la force encaissée par le siège et transmise à l’organisme. Mais pas question de supporter 20g. Pour supporter une telle accélération même la mécanique doit être dimensionnée en conséquence donc massive, lourde, demandant encore plus d’énergie.
Les ovnis ne ressemblent ni à des chars d’assaut ni a des coffre forts. Ils sont « cohérents avec notre perception actuelle des véhicules » (autos, avions). Certains sont mêmes, quand ils sont près du sol, transparents par endroits. Les passagers sont en général équipés d’une simple combinaison plutôt faite pour se protéger de l’environnement que pour encaisser une énorme accélération.

 

Énergie, masse, inertie.

Pour encaisser des accélérations de 80g ou plus, pour prendre un virage à angle droit à une vitesse de quelques milliers de kilomètres par heure, il y a une explication simple: la masse du vaisseau, de ses équipements et de ses passagers est annulée. Pas réduite, ni minimisée, annulée. En effet lorsque la vitesse du vaisseau approcherait la vitesse de la lumière, quelle que soit la valeur de sa masse, aussi infime soit-elle, son énergie tendrait vers l’infini.

Or pour accélérer à 80g, on vient de voir que les organismes et les équipements ne supporteraient pas. Pourtant les témoignages d’observations sont là, c’est donc que les vaisseaux et leurs contenus ne sont pas soumis à l’inertie résultant de l’accélération, qu’elle soit linéaire ou circulaire dans le cas d’un virage très serré.

Selon l’état actuelle de nos connaissances, aujourd’hui il est considéré comme absolument impossible d’intervenir sur la masse d’un corps. On ne peut ni la réduire, ni l’augmenter. Pourtant nos visiteurs savent faire.

 

Antigravitation.

Si l’on sait intervenir sur la masse au point d’amener sa valeur à zéro, alors la gravitation ne s’applique plus. Le vol stationnaire est possible pour un vaisseau quelle que soit sa taille ainsi que pour un humanoïde intégré dans une combinaison spéciale.
La notion d’antigravitation n’offre plus d’intérêt.

 

Confrontation avec les molécules de l’atmosphère.

Pas de « bang » de franchissement du mur du son. Les témoignages décrivent en général trois étapes pour le décollage:

– une première élévation lente, que je comparerais, pour la vitesse d’ascension, à celle que peut faire un de nos hélicoptères,
– une deuxième étape de transformation de l’engin (plus gros, forme différente, couleur différente)
– une troisième étape de départ à grande vitesse avec des accélérations « impossibles » (ordre de grandeur 100g). Au moment de ce départ à vitesse fulgurante, les témoins décrivent la présence d’un halo ou d’une nuée autour de l’engin. D’autres témoignages sont du type: « l’engin est parti à une vitesse fulgurante, en faisant un grand bruit de tonnerre ».

Deux cas :
– il y a génération d’un halo ou d’une nuée autour de l’engin (ionisation de l’environnement) et dans ce cas il part sans bruit. Le halo est le résultat d’une technique qui doit déterminer une zone tampon entre l’atmosphère ambiante et le véhicule. Dans ce cas chaque molécule rencontrée est amortie dans une zone souple de quelques mètres d’épaisseur et dans ce cas les effets mécaniques que nous connaissons, y compris le mur du son, sont gérés de façon à ne pas être un obstacle à la progression à grande vitesse (pas de contact brutal air/carrosserie, cause de l’échauffement et des vibrations destructrices).
– l’engin part dans un grand bruit de tonnerre (mur du son). Dans ce cas, bien que partant très vite, il part peut-être moins vite que ceux qui sont silencieux, réduisant les effets mécaniques néfastes.

Dans tous les cas, puisque les véhicules partent dans l’atmosphère en arrivant après quelques secondes à des vitesses de l’ordre de 10 000 km/h, la distance à franchir pour sortir de l’atmosphère étant de 250 km, il ne faut que 1 à 2 minutes au véhicule pour être libéré des contraintes de l’atmosphère. La durée de cette période d’échauffement vibration doit pouvoir être compensée simplement au niveau de la résistance des matériaux de l’enveloppe.

Pour revenir avec les étapes de décollage, on peut déduire aussi des témoignages qu’en quatrième étape, certains véhicules, sortis de l’atmosphère sont pris en charge par des vaisseaux mères, etc…

 

Des pistes pour la recherche.

Des témoignages sont riches en éléments techniques, par exemple: un générateur dans un tube (type quartz ?) produit une « atmosphère » locale de couleur bleue qui ne déborde pas du vaisseau (la couleur détermine déjà la fréquence de fonctionnement de cette atmosphère). Lorsque le vaisseau s’en va, un halo se forme autour de lui. L’enveloppe est transparente de type cristalline quand il est au sol. Quand il s’en va, le vaisseau quitte le sol lentement, sa taille grandit, puis il part en s’éloignant à grande vitesse.
J’en tire la conclusion que ce véhicule produit en interne (parois de sa carrosserie comprises) une atmosphère qui met tout ce qui y est immergé à l’abri des effets mécaniques de l’accélération. L’annulation de la notion de masse telle que nous la connaissons est une explication.
Les faisceaux lumineux tronqués dans lesquels les passagers sont transportés du véhicule au sol, doivent contenir aussi ce type d’atmosphère.

 

Analyses techniques futures pour les ufologues

Éléments qui semblent importants et qu’il faudrait travailler en priorité.

– pendant les accélérations de 80g, lors des changements de cap à angle droit, que se passe-t-il au niveau de la masse des équipement et passagers ?

– est-il envisageable de stocker dans un aéronef l’énergie correspondant à une expédition plusieurs milliers d’années?

– quel énergie est disponible et utilisable entre les étoiles  ?

– les passagers des ovnis font-ils des voyages flash (vitesse proche de la lumière, bien plus rapide…)?  ou est-ce que se sont des générations cumulées qui voyagent à des vitesses plus compréhensibles par nous ?

– les champs magnétiques solaires et terrestres sont-ils utilisés comme source d’énergie par les ovnis ?

– s’ils vont sous l’eau, que vont-ils y faire ?

– s’ils rentrent dans les volcans, que vont-ils y faire ?

Observons, notons, analysons, échangeons…
Le travail n’est pas prêt de manquer.

Chalons en Champagne, le 14 octobre 2005