Arrêt et redémarrage des moteurs à explosions en présence d’un ovni

L’étude des témoignages du phénomène ovni sur une période de quelques dizaines d’années permet de dégager des grandes lignes techniques, en particulier en ce qui concerne la sustentation-propulsion des ovnis dans notre atmosphère au voisinage du sol.


Arrêt et redémarrage des moteurs à explosions
en présence d’un ovni ©

par

Jacky Kozan
analyste technique des phénomènes aériens insolites

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Les témoins décrivent des ovnis, quelques mètres ou dizaines de mètres au-dessus d’eux. Ces ovnis émettent quelquefois une lumière blanche ou un faisceau de lumière blanche, tronqué. Pendant ces observations, les témoins font souvent état de l’arrêt de leur véhicule et de l’arrêt du moteur du véhicule, ainsi que certains troubles décrits comme d’ordre électrique. Ils mentionnent des élévations locales de température et quelquefois des brûlures.
Lorsque l’ovni s’éloigne, le moteur de la voiture se remet à tourner, qu’il soit à allumage électrique ou qu’il soit de type diesel. Le moteur diesel n’utilise pas d’électricité pour fonctionner.
Dans la littérature spécialisée sur le phénomène ovni, souvent la question est posée: comment expliquer un tel phénomène d’arrêt et de redémarrage du moteur ? Des explications ont été proposées concernant l’arrêt du véhicule lui-même, j’en propose une qui concerne les moteurs des véhicules.

 

Cadrons l’analyse du phénomène.

L’étude des témoignages du phénomène ovni sur une période de quelques dizaines d’années permet de dégager des grandes lignes techniques, en particulier en ce qui concerne la sustentation-propulsion des ovnis dans notre atmosphère au voisinage du sol. Des distances de quelques mètres à quelques dizaines de mètres au-dessus des témoins sont rapportées.

1. éléments techniques récoltés

En analysant les témoignages d’observation, on retrouve des descriptions de phénomènes incompréhensibles avec nos connaissances physiques officielles actuelles:

a- des engins gros comme des ballons, des automobiles, des autobus ou des immeubles de huit étages passent en vol silencieux à basse altitude ou font ce que l’on appelle un vol stationnaire. C’est-à-dire qu’ils restent immobiles quelques mètres ou dizaines de mètres au-dessus des témoins.

b – accompagnant ces descriptions, les témoins rapportent des lumières souvent blanches, émettant quelquefois des faisceaux de lumière tronqués, dont la base s’arrête net, de façon bien délimitée. Des analyses effectuées sur les agrandissements photographiques de lumières blanches mettent en évidence des structures en forme de nid d’abeille. Des témoignages relatent des mouvements en spirale près de ces lumières blanches, d’autres décrivent des boules qui se mettent à tourner en spirale avant de « plonger » vers le ciel.

c – des engins gros comme des automobiles descendent du ciel en tombant comme une feuille morte.

d – en quittant les lieux de l’observation, l’engin s’élève, d’abord lentement, transforme son apparence, puis repart à très grande vitesse dans l’atmosphère, quelquefois faisant un virage à angle droit en pleine vitesse.

2. distinction entre deux systèmes

Ces témoignages relatent:

– d’une part la possibilité de sustentation des ovnis, même très gros, à proximité du sol, sans faire de bruit significatif, sans élévation importante de la température comme pourrait le faire un réacteur d’avion en fonctionnement, sans émission de gaz, sans déplacement sensible de la masse d’air environnante.
– d’autre part la possibilité de partir du lieu de l’observation avec une très forte accélération, largement au-delà de ce qui est supportable pour un vaisseau, un passager ou des équipements.

3. liaison avec les événements au sol

Au cours de ces survols par des ovnis, les témoins relatent:

– des mouvements de végétation, de matériaux, de véhicules, qui semblent être aspirés au passage de l’ovni puis retombent sur le sol quand l’ovni s’éloigne,
– des phénomènes de chaleur, élévation locale de la température, allant quelquefois jusqu’ à la brûlure,
– des phénomènes qualifiés d’électriques car ils concernent la radio et les lampes du véhicule,
– la difficulté voire l’impossibilité pour eux de sortir du véhicule ou de se déplacer.

 

Deux explications à deux performances hors de notre portée

De l’analyse de ces éléments récoltés dans les témoignages, les analyses techniques du phénomène ovni convergent vers deux explications techniques, l’une concernant la propulsion de l’ovni, l’autre concernant son aptitude au vol stationnaire. Il est bien évident que notre savoir faire technologique actuel, ne nous donne pas la possibilité de mettre en œuvre ces techniques, mais que notre connaissance théorique ou expérimentale partielle, nous permet de les comprendre et de les envisager.

Pour la propulsion, l’hypothèse d’un système électro-magnétique est généralement pris en considération, compte tenu des effets constatés par les témoins au niveau des lumières des ovnis, au niveau des caractéristiques de leur déplacement à proximité du sol (trajectoires en chute de feuilles mortes ou déplacement horizontal sautillant). Des détails tels que les structures en nid d’abeille et les éjections de particules ionisées en tourniquet ou en spirales viennent renforcer cette hypothèse.

Pour la sustentation (ou le vol stationnaire), un système basé sur l’antigravitation est en général proposé.

Pour continuer à développer mon explication de l’arrêt et redémarrage des moteurs à explosions en présence d’un ovni, je dois préciser maintenant que je retiens l’hypothèse d’un système de propulsion électromagnétique agissant lorsqu’en même temps, un autre système de sustentation est actif.
Par contre je rejette l’antigravitation comme explication du vol stationnaire, de l’aspiration des corps se trouvant sous l’ovni, du départ de l’ovni à grande vitesse et avec de fortes accélérations. Je propose une explication basée sur l’annulation totale de la masse de l’ovni et de tout ce qui est inclus dans l’ovni.

Pourquoi rejeter une éventuelle technique d’antigravitation.
Maîtriser la gravitation ne résout pas la résistance des vaisseaux, des équipements et des passagers à de fortes accélérations. Or les témoignages relatent ces vitesses et accélérations largement au-delà de ce que pourrait supporter un organisme vivant ou du matériel. Des vitesses d’au moins 8 000 kilomètres heures ont été mesurées, sur des engins effectuant des virages à angle droit, sans « bang » de franchissement du mur du son.
Des accélérations d’au moins 80g (g est égal à 9,81mètres/seconde/seconde et c’est la mesure de l’accélération de notre pesanteur terrestre). Un organisme humain est très éprouvé à 5g d’accélération (une voiture de sport qui passe de 0 km/h à 100 km/h en 4 secondes, accélère à 0,7 g).
Un pilote de Mirage moderne peut envisager de résister à 8g. Au-delà l’organisme est détruit. A 40g les équipements commencent à casser. Pas question de supporter 80g, ni pour un organisme (humain ou humanoïde), ni pour des équipements tels que nous les construisons en ce moment.

 

L’annulation de la masse explique ces performances.

Remarque préalable: Je viens de mentionner le mot "annulation" attribué à la "masse". Bien évidemment, je n'ai aucune explication de la façon dont cela peut être réalisé et je n'ai pas l'intention de travailler sur le sujet. J'attire ici l'attention des lecteurs sur les éléments suivants:
 - un système d'antigravitation n'expliquerait que les vols stationnaires, mais pas la résistance nécessaire aux fortes accélération, que ce soit pour les organismes vivants ou le matériel,
 - les physiciens disent: "la masse c'est la matière elle-même, on ne peut pas intervenir dessus",
 - comme en remontant dans le temps, les physiciens ont dit qu'on ne pouvait pas casser une molécule, ensuite on ne pouvait pas casser un atome, ensuite un proton maintenant ils cassent des quarks et des leptons et trouvent des "particules élémentaires" et des interactions dont une dite "gravitationnelle".
 Alors pourquoi affirmer aujourd'hui, qu'on ne peut intervenir sur ces interactions entre particules (gravitationnelle, électromagnétique, nucléaire faible et nucléaire forte) alors qu'on a appris à intervenir sur les atomes, puis sur les électrons et protons.
 Dans mon raisonnement je considère que la physique actuelle n'a pas encore fini d'évoluer et que prochainement (100 à 1 000 ans) nous saurons intervenir sur ces interactions et donc sur la masse d'un corps. De toute façon nous avons les preuves, au sens juridique du terme, que certains inconnus savent déjà faire. Pourquoi pas nous ?

Pour encaisser des accélérations de 80g ou plus, pour prendre un virage à angle droit à une vitesse de quelques milliers de kilomètres par heure, il y a une explication simple: la masse du vaisseau, de ses équipements et de ses passagers est annulée. Pas réduite, ni minimisée…annulée. En effet lorsque la vitesse du vaisseau approcherait la vitesse de la lumière, quelle que soit la valeur de sa masse, aussi infime soit-elle, son énergie tendrait vers l’infini.

Or pour accélérer à 80g, on vient de voir que les organismes et les équipements ne le supporteraient pas. Pourtant les témoignages d’observations sont là, c’est donc que les vaisseaux et leurs contenus ne sont pas soumis à l’inertie résultant de l’accélération, qu’elle soit linéaire ou circulaire dans le cas d’un virage très serré.

Raisonner dans le domaine de l’antigravité n’est pas la bonne voie, puisqu’à la lecture des témoignages des performances des ovnis concernant leur maîtrise de la liaison masse/gravitation, il me semble évident que les passagers des ovnis savent contrôler la masse d’un corps, probablement jusqu’à la réduire à zéro. Cette hypothèse n’est pas acceptable par la physique enseignée, car la majorité des physiciens considèrent que la masse augmente avec la vitesse et tend vers l’infini lorsque l’on s’approche de la vitesse lumière.
Mais cette affirmation est fausse. La formule qui est en cause est celle-ci :

Si dans cette formule on donne une valeur plus grande que zéro au paramètre « m0 », je suis d’accord: plus la vitesse (le paramètre « v ») augmente et plus « m » augmente et quand « v » atteint « c » (vitesse de la lumière) alors « m » est infini.

Mais, « m0 » étant la masse, si on lui applique une vitesse, le résultat c’est une mesure d’énergie. Et « m » ne devrait pas s’appeler « m » mais « E ». Comme dans E=Mc2.
Certains qualifient « m0 » de « masse au repos » et « m » de « masse inertielle ». (Pourquoi pas tout simplement énergie ?) Donc ce n’est pas la masse qui augmente avec la vitesse mais l’énergie. L’inertie de la masse.

Maintenant, si on applique la valeur zéro à la masse (paramètre « m0 ») alors même lorsque « v2 » atteint « c2 », le résultat appelé « m » dans la formule reste à zéro. En conséquence une masse rendu nulle par un procédé physique (électromagnétisme et hyperfréquences) resterait nulle quelle que soit sa vitesse, même aux environs de la vitesse lumière. Une masse rendu nulle, pourvu qu’elle soit appliquée à l’ensemble du vaisseau, jusqu’à la plus petite particule à l’extérieur du vaisseau rend possible les fortes accélérations et les déplacements à des vitesses égales ou supérieures à celles de la lumière.

Selon l’état actuel de la physique enseignée, aujourd’hui il est considéré comme absolument impossible d’intervenir sur la masse d’un corps. On ne peut ni la réduire, ni l’augmenter. Pourtant autrefois les alchimistes ne savaient utiliser que les corps simples et les corps composés, ensuite on a découvert les atomes, on a su combiner les électrons et faire de la chimie puis de l’électronique. On connaît les leptons et les quarks et les différentes interactions entre les particules. Attendons donc d’en savoir davantage sur leurs caractéristiques avant d’affirmer qu’il n’est pas possible d’intervenir sur la valeur de la masse d’une particule.
Je propose donc cette hypothèse basée sur l’annulation totale de la masse pour proposer une explication, non seulement aux accélérations relatées par les témoignages mais aussi une explication à l’arrêt et au redémarrage des moteurs à explosions en présence d’un ovni.

 

Retour sur les moteurs à explosion.

Voici à quoi ressemble un moteur classique d’automobile:

Rappel de son fonctionnement

Une combustion interne dans lequel l’énergie calorifique, provenant de l’inflammation d’un mélange air-essence, est transformée en énergie mécanique.

Premier temps : admission – La soupape d’admission s’ouvre, le piston descend dans le cylindre, le mélange d’essence et d’air pénètre.

Deuxième temps : compression – La soupape se referme, le piston remonte et comprime le mélange d’air et d’essence emprisonné dans la chambre de combustion. Ce dernier monte en pression et en température. Il devient alors très inflammable.

Troisième temps : explosion – Elle a lieu juste après la compression et est déclenchée par l’étincelle de la bougie. La température peut atteindre 3000° ; la pression s’élève encore et les gaz dilatés repoussent le piston vers le bas ce qui entraîne la rotation du vilebrequin par l’intermédiaire du jeu de bielle.

Quatrième temps : échappement – Le piston remonte, la soupape d’échappement s’ouvre et les gaz brûlés sont évacués.

Pendant ces quatre temps, au niveau de chaque cylindre, le mouvement de translation du piston dans la chemise est transformé en mouvement de rotation du vilebrequin grâce au jeu de bielle.

Quand le moteur fonctionne il produit donc une énergie mécanique. Dans le cas des véhicules automobiles, c’est pour les faire avancer.

Que se passe-t-il en présence d’un ovni ?
Le fonctionnement étant expliqué, il faut maintenant en extraire les éléments importants à retenir pour avoir une bonne compréhension de ce qui se passe en présence d’un ovni.
Le moteur tourne parce qu’une étincelle à généré une forte pression des particules de carburant sur une pièce mécanique et que celle-ci s’est déplacée sous cette pression, produisant en fin de compte à la sortie du moteur un mouvement de rotation qui est exploité pour faire avancer le véhicule.

Quatre éléments sont essentiels:
– l’électricité qui va produire l’étincelle responsable de la violente augmentation de pression,
– la pression des gaz à l’origine de la rotation du moteur,
– l’inertie de l’ensemble de la mécanique en mouvement,
– les frottements mécaniques qui existent par construction et qui sont les premières forces que le moteur doit vaincre.

L’électricité – Rôle et impact
Elle va servir à produire l’étincelle dans chaque piston, l’un après l’autre, uniquement au moment où celui-ci aura déjà bien comprimé les particules de carburant situées au-dessus de lui. Ces particules vont exploser, faire élever la température et augmenter violemment la pression au-dessus du piston qui repartira énergiquement vers le bas. L’électricité n’intervient donc que très ponctuellement au cours d’une séquence de création d’énergie dans le moteur.

La pression des gaz – Explication des forces
Un gaz est constitué de molécules accompagnées d’un mouvement libre. Quand un gaz est enfermé, il vient pousser les parois. Les molécules étant accompagnées d’un mouvement libre, elles vont heurter la paroi et ainsi exercer une force. C’est la masse des particules qui est la source de la pression exercée sur le piston. Dans un premier temps le piston qui remonte, sous l’effet des explosions des autres pistons du moteur, va comprimer les particules et générer une première pression au-dessus du piston. L’étincelle va ensuite provoquer une combustion rapide de ces particules et la température en haut du piston va monter vers 3 000 °C. Les nouvelles particules vont alors s’agiter et augmenter la pression exercée sur le piston, qui va repartir vers le bas. On a toujours la masse des particules de carburant comme acteur responsable de la pression exercée sur le piston.

Le moment d’inertie d’une masse tournante
C’est le résultat de la valeur de la masse du corps en rotation appliquée à une certaine distance du centre de rotation. La formule qui le détermine est : I = (M*R2) / 2
Elle est présentée dans le schéma ci-dessous:

Les frottements mécaniques dans le moteur
Ils sont présents dans les cylindres, au niveau des interfaces entre les pistons et leurs logements, au niveau des articulations entre les pistons et les bielles, entre les bielles et le vilebrequin, au niveau des paliers du vilebrequin et un peu partout au niveau de tous les accessoires en mouvement (culbuteurs, soupapes, pompes, etc…).
Le résultat de l’existence de ces frottements est une force mécanique que le moteur doit vaincre pour commencer à se mettre en rotation.

 

Interaction des systèmes de sustentation-propulsion des ovnis avec ces paramètres.

En première partie de ce texte, j’ai mis en évidence un système de sustentation-propulsion à la fois de type électro-magnétique et basé sur l’annulation totale de la masse de l’ovni et de tout ce qui est inclus dans l’ovni.

Lorsqu’un ovni arrive à proximité d’un moteur à explosion et qu’un tel système est actif :
– le champ magnétique produit par le système électro-magnétique de l’ovni va perturber le fonctionnement électrique du moteur et va générer des courants électriques dans la mécanique en rotation. Plus le moteur tournera vite, plus les courants générés seront forts.
– en même temps le système électro-magnétique va annuler toutes les masses présentes dans le champ d’action de l’ovni. Il va annuler les masses des pièces mécaniques et les masses des particules de gaz dans les chambres de combustion en haut des pistons.

Les pièces mécaniques n’ont plus aucune inertie. Les particules de gaz n’ayant plus de masse n’exercent plus aucune pression sur les pistons.
Par contre le champ magnétique environnant génère des courants électriques dans tout le bloc moteur. Les pièces du moteur en mouvement vont être freinées, plus le moteur tournera vite au moment de l’activation du champ magnétique, plus il sera freiné.

Nous avons une perte totale de la masse et donc de l’inertie des pièces en mouvement dans le moteur. En même temps nous avons la création d’une force de freinage. Le moteur, n’ayant plus ni d’inertie ni de pression interne, se bloque en raison des forts courants électriques générés dans le bloc moteur. Même en cas de production d’étincelle, la masse des particules étant nulle, celles-ci n’exerceront aucune pression sur le piston.

 

Départ de l’ovni.

Le champ magnétique généré par l’ovni n’existe plus, le moteur n’est plus perturbé dans sa rotation. Le système d’annulation de masse n’agit plus, le moteur retrouve sa masse et son inertie et les pistons subissent les contraintes de pression des particules de carburant. Il suffit que la valeur de l’énergie créée par cette pression soit plus forte que les énergies de frottement à vaincre pour mettre le moteur en rotation. Cette énergie minimum subsiste dans au moins un des quatre pistons.
Et le cycle moteur reprend normalement, sans même besoin d’une étincelle pour le relancer.

A retenir que je suis parti du contenu des témoignages pour en déduire que les ovnis savent annuler la masse des particules et que je me suis ensuite servi de cette propriété pour expliquer l’arrêt et le redémarrage des moteurs à explosion en présence des ovnis. Le constat de ces arrêts et redémarrages des moteurs vient donc renforcer l’explication des phénomènes constatés en prenant comme base l’annulation de la masse des particules. Ce qui est plus facile à appréhender que, par exemple, »un univers à six dimensions qui se replie sur lui-même sous l’action des masses ».

Fait à Romette, le 9 mars 2006 par Jacky Kozan

Ce texte est protégé par un copyright au nom de Jacky Kozan

Publié par

Jacky

Fondateur animateur de l'Académie d'Ufologie. Ancien cadre de l'Industrie microélectronique et de la microbiologie. Start-Up spécialiste.